La jeune femme se réveille avec un énorme mal de crâne et aperçoit qu'elle n'est pas dans sa chambre. Elle ignore quelle heure il est ni ou elle se trouve. Elle décide donc de se lever et de quitter cette pièce avant d'apparaître dans le bureau du Caporal-chef qui est assis devant son bureau, avec du thé à la main tout en la regardant.
Livai: bien dormis rookie?
T/p: ouais..
Dit la femme en posant sa main sur son crâne. Le caporal plisse des yeux avant de lui demander
Livai: ça va?
T/p: oui, je crois.
Livai: t/p *soupire* je veux la vérité
T/p: j'ai..
Commencas t-elle hésitante
T/p: j'ai un peu mal au crâne
Le caporal se lève en un bond et pars dans la salle de bain laissant la femme dont il est tombé amoureux planté dans son bureau.
Il en ressors 2 minutes plus tard avec un médicament et un verre d'eau qu'il lui tendsLivai: prends ça, ça devrais aller mieux.
En voulant prendre les médicaments qui sont sur la paume de la main droite de son caporal et le verre d'eau qu'il tiens avec sa main gauche, elle les saisit non sans que leur mains se frôlent, provoquant à l'homme des frissons et un sentiment de bien être. Elle s'excuse à voix basse de l'avoir frôlé même si elle a elle aussi apprécié cette vague de chaleur.
Elle avale donc les médicaments avant de poser le verre d'eau sur le bureau de son supérieur.Livai: retourne te coucher, je vais t'emmener le déjeuner.
T/p: ne vous donnez pas ce mal, j'irais le chercher.
Livai: obéis.
La femme soupira avant de se retourner. Elle de sent mal, elle a l'impression d'utiliser son supérieur pour esclave mais elle se souvient que c'est le Caporal-chef Livai et qu'il ne sera l'esclave de personne.
L'homme sors donc de son bureau et se dirige vers le réfectoire où il voit son escouade chômer puisque c'est leur jours de repos suite à l'expédition. Il les salue d'un signe de tête avant de prendre un plateau et déposer un bol de soupe bien remplie, une assiette de riz qui déborde limite et des patates chaudes ainsi qu'une pomme pour le dessert. D'ailleurs, il fait une demande à son escouade et ils acceptent.
Il met des couverts et des mouchoirs avant de remonter dans son bureau. Lorsqu'il entre à l'intérieur de la pièce spacieuse et bien rangée, il entends des sanglots qui viennent de sa chambre.Oh non..
Il pose donc le plateau sur son bureau avant de se diriger vers la porte de sa chambre qu'il ouvre doucement pour ne pas brusqué la belle femme qu'il aime en pleurs sur son lit, le bonnet blanc de sa fille à la main, humant son odeur.
Elle pleure tellement qu'elle n'a même pas remarqué que son supérieur l'avait prise dans ses bras pour essayer de la calmer du mieux qu'il peut.T/p: elle me manque... Caporal faites quelque chose je vous en supplie...
Livai: cchhht.. ça va aller
Dit-il en caressant les cheveux de la femme pleurant sur son torse.
T/p: ma petite Livia.. pardonne maman... j'ai pas été à la hauteur mon ange.. je suis désolée... j'ai été une mère pitoyable..
Ses paroles attristent le caporal
Livai: hey.. tu a été une mère incroyable. Livia ne pouvait pas rêver une meilleure mère que toi.
