Livai: rookie, dans mon bureau, maintenant.
La femme soupiras et se relevas du sol poussièreux.
On était 2 jours après la sortie des 2 soldats et la femme semble déstabilisée durant les entraînements. Elle semble avoir la tête ailleurs ce qui irrite le caporal-chef.
Arrivée devant son bureau, il l'invite a s'asseoir.Livai: qu'est-ce qu'il t'arrives? Hein?
T/p: j'en ai aucune idée..
Répondit la femme honteuse, tête baissée
Livai: ça fait déjà 2 jours que ça dure!
Sérieux, te faire battre par Historia au corps à corps??? Tu m'as habitué à mieux!T/p: désolé..
Son supérieur soupiras.
Livai: merde putain. C'est plutôt à moi de m'excuser.
T/p, je ne te gueule pas dessus sans raison ou par pur plaisir.T/p: je sais caporal-chef..
Livai: regarde moi.
Lui ordonnas t-il d'une voix douce. Elle relève alors la tête pour regarder son supérieur.
Livai: écoute, je- *soupire* je me fait du soucis pour toi.
La jeune femme écarquillas les yeux
Livai: tu sembles à l'ouest ces 2 derniers jours. Si lors d'une expédition il t'arrivais quelque chose, je m'en voudrais toute ma vie. Tu comprends?
T/p: oui caporal..
Livai: « Livai »
T/p: hein?
Livai: quand nous sommes que tous les deux, appelle moi « Livai ».
La jeune femme rougit d'un seul coup. Cette phrase lui rappelle quelque chose.. une nuit en particulier:
« Quand nous sommes que tous les deux, je veux que tes lèvres m'appellent Livai.. pas Caporal..
Je veux entendre ta voix dire Livai.. pas Caporal.
Quand je suis devant toi, je ne me considère plus comme ton supérieur, mais comme moi-même: Livai. L'homme qui t'aime à en mourir. »Livai: hey? Tout vas bien?
T/p: euh oui oui! Je pense haha!
Livai: toi tu me caches quelque chose, non?
La jeune femme se fige. Elle allait répondre que non mais elle se fit interrompre par les toux violent de l'homme assis face a elle.
T/p: vous aussi, non?
Livai: tch!
T/p: caporal, v-
Livai: « LIVAI »!
T/p: ..Livai, vos toux ne sont pas normaux.. vous devriez aller voir l'infirmière!
Livai: t'en fait pas.
T/p: justement.. c'est inquiétant...
Livai: rien de bien grave, ne t'inquiète pas.
Lui assuras le caporal avec un sourire.
Livai: mais bon, nous avons trop tournés autour du pot. Donnes moi les réelles raisons pour lesquelles tu es déstabilisée ces 2 derniers jours.
T/p: euh.. eh bien..
Livai: c'est par rapport a notre balade nocturne?
Interrompit l'homme
Livai: ai-je fait quelque chose qui t'as déplus?
Le choix du restaurant peut-être, non?
Peut-être le moment où je t'ai installé sur la chaise?Le caporal paniquait intérieurement sans essayer de le montrer a sa bien aimée.
Cela la fit rire et pendant qu'elle riait, le caporal la regardait en arrêtant toutes ses pensées pour reporter toute son attention sur elle. Son rire résonnait comme une mélodie descendue du Paradis. Il ne pouvait pas avoir meilleure vu que celle de la femme qu'il aime rire aux éclats.
Il ne pu s'empêcher de la regarder amoureusement.T/p: ahahahaahaha! Ahhh caporal!!
Le caporal esquisse un sourire et lui réponds
Livai: c'est ça marre toi! Je vais te donner une bonne raison de rire moi!
T/p: hahaha j'ai hate de voir caa en tout cas!
Livai: tu l'auras chercher!
Le caporal contourne son bureau pour porter la femme en sac a patate et la jeter violemment sur son lit. Il se place au dessus d'elle, s'assît sur son bassin, les genoux sur ses poignets avant de commencer à la chatouiller.
Livai: haha aloors??
T/p: ahahahaha stoop hahahaha
Livai: dit « pardon caporal-chef Livai »!!
Il arrêtas de la chatouiller pour la laisser respirer et prononcer ses excuses. Une fois le fou rire de la femme calmée, elle lui dit
T/p: jamais!
Livai: alors toi!! Round 2!!!!
Il la rechatouilla de plus belle. La femme ceda au bout de 3 minutes.
T/p: aahhhahaha pardon caporal-chef Livaaiii!!
Livai: haha! Tu vois quand tu veux!
Il leva ses genoux pour libérer les poignets de la femme sans pour autant se relever. Le regard de la femme déstabilisa l'homme qui ne pu s'empêcher de retomber amoureux d'elle pour la millième fois de l'heure. Les cheveux en bataille, sur son lit, les yeux brillants d'admiration, ses lèvres entre-ouvertes... il l'a dévisage complètement. Mais elle aussi.
Son caporal assis sur elle, les cheveux retombant, ses yeux d'acier la dévisageant, ses lèvres pulpeuses entre-ouvertes... tout ça l'a rendait dingue.Livai: t/p..
La jeune soldate humait pour seul réponse, l'incitant à continuer
Livai: j'ai une folle envie de t'embrasser.. ici.. maintenant. Ai-je le droit? Ai-je ton consentement?
T/p: oui vous avez et oui vous l'avez.
Le caporal se pencha donc vers la jeune femme tout doucement pour ne pas la brusquer ou l'effrayer dans le but d'éviter de lui rappeler Karl. Mais au lieu de l'homme, c'était la soldate qui était impatiente. Elle lui chopa son col et l'attiras vers elle d'une vitesse hallucinante. Comme ci ce baiser serais vital.
L'homme écarquillas des yeux avant de les refermer et de laisser leur lèvres se mouvoir.
Ils s'écartent quelques secondes plus tard et le caporal regardas sa subordonnée et lui demandas d'un ton suppliantLivai: t/p je t'en prie. Dit moi que ce baiser n'était pas insignifiant pour toi. Dit moi que tu m'aimes comme je t'aime. Dit moi que ton baiser m'a sauvé.
La jeune femme posa ses mains sur ses joues et le rassuras comme elle le pouvais.
Livai: je t'aime.. je t'aime à en crever.. je t'aime énormément putain.
T/p: qu'ai-je fait pour que tu sois obsédé par moi?
Livai: tu m'a rendu fou. Tu m'as rendu malade.