ma perle

7.

Isabella regarda le paysage défiler sous ses yeux. Ambrosius était allés les chercher et avait exiger qu'ils s'habillaient de leur tenu de l'ordre du sablier.

Pourquoi faire ? Strictement aucune idée ! Tout ce qu'elle savait c'était que ses enfants esayaient de dormir mais que la musique qui venait d'un village un peu plus loin les en empêchaient.

Angelina était à la barre et la nef avait (miraculeusement) pas encore sombré.

Elle rentra avant de pouvoir se transformer en glaçon. Parce que oui, il ne faisait pas si froid que ça mais à 50-70 mètres d'altitude en mouvement et avec du vent, tu es vite frigorifié.

Une fois à l'intérieur, elle se débarrassa de son manteau pour rejoindre sa petite soeur qui était limite en train de s'endormir d'ennuie.

- Je vais faire un tour au village. J'ai bien envie de savoir ce qu'ils ont fait pour faire une fête pareil. Ne t'endors pas.

- Oui....Che...chef.

Voyant bien qu'angelina pourrait laisser la nef s'écraser sur une montagne, elle l'écarta doucement et fit atterrir la nef dans une petite clairière.

Elle porta sa soeur et la posa sur le canapé. Angelina c'était déjà endormi depuis bien longtemps, à croire que la nef était en pilote automatique lorsque Isabella n'avait pas encore pris les commandes.

Après que sa soeur soit bien enmitouflé dans une couverture, l'aîné des deux soeurs se dirigea vers la chambre de ses enfants.

- Maman ? Ils vont bientôt arrêter la musique ?

- Je ne sais pas. Mais essayer de dormir où alors jouer à un jeu mais ne sortez pas de votre chambre. On ne sais jamais. Je vais voir ce qu'ils font avec leur musique. Je revient bientôt.

- D'accord.

Diana répondit avant de bailler et de sentir ses paupières se fermer. Elle était peut-être une boule d'énergie mais elle n'en restait pas moins une petite fille qui avait besoin de sommeil.

Elle embrassa le front de sa fille en lui chuchotant un "bonne nuit" et se retourna pour aller vers le lit de son fils.

- Maman...

- Qu'est-ce qu'il y a mon trésor ?

- Parle moi de papa.

Il avait dit tout ça très rapidement en fermant à la même vitesse les yeux pour ne pas voir la réaction de sa génitrice, car il savait que leur mère était très amoureuse de leur père et que sa mort l'avait brisé.

- Je...qu'est-ce que tu veux savoir ?

- Tout. Enfin, comment il était, s'il nous aimaient et tout et tout.

Isabella sourit. Même si elle souffraient de son absence, ses enfants aussi.

Elle s'installa à côté de Matéo sur le lit et il vient immédiatement se blottir contre sa mère.

- Ton père était plus grand que maman. Il avait les même cheveux que Diana mais il avait tes yeux. Il était aussi fort que maman à l'épée et il était très courageux. Il me protégeait tout le temps quand on m'énervait et il était très doux et attentionné. Il nous a aimé jusqu'à son dernier souffle, même s'il ne savait m'as encore que toi et Diana existaient. Il nous aime très fort de la où il est.

Elle versa quelque larmes puis regarda son fils, qui a son grand étonnement était déjà endormi.

Elle lui embrassa son front et ferma mar la suite la porte de leur chambre. Ils étaient son plus grand trésor.

Elle sortit rapidement de la nef, voulant prendre l'air.

Elle se balada dans les bois, jusqu'à arriver devant une cascade.

L'eau qui tombait était magnifique, malgré la noirceur du ciel. Elle ferma les yeux pour sentir le vent frais sur son visage, faisant voler ses cheveux dans tout les sens.

Puis, elle entendit un bruit.

Un bruit qu'elle connaissait.

Un bruit de machine olmèque.

Elle regarda le ciel et ses doutes furent confirmer. Mais que faisait des olmèque ici ?

Elle ne réfléchit plus et grimpa la roche. En moins de 5 minutes grâce à son fouet et à son incroyable agilité elle arriva en haut de la cascade, pour écarquiller les yeux juste après.

Son oncle athanaos sous un drôle de masque parce que oui, elle le reconnut grâce a ses yeux, dans la machine olmèque, Ambrosius dans son exosquelette en menacant de tuer, Esteban et deux autres enfants, une femme blonde qui criait comme une folle dingue en train de faire semblant de s'évanouir et là, devant elle. Comment est-ce possible ?

Grand.

Cape bleu.

Cheveux marron.

Homme.

Épée.

Capitaine.

Duelliste.

Juan Carlos Mendoza ?

Ils étaient tous en train de regarder l'objet olmèque, alors ils ne voyaient pas qu'elle était à quelques mètres derrière eux, à 1 mètre d'une chute mortelle de la cascade.

Athanaos ouvrit grand les yeux quand il l'a vit, ce qui fit qu'ambrosius, curieux de savoir qu'est-ce qui captait l'attention de son ancien ami, tourna la tête dans la direction d'Isabella.

Curieux de savoir ce que les deux hommes regardaient, les enfants tournaient la tête dans la direction de la jeune femme, paralysé par ce qu'elle venait de découvrir.

Il était vivant ? Et cette fille à côté ? Pourquoi ses deux oncles étaient ennemis ? Le jeune garçon était vraiment Esteban ? Son oncle athanaos était vraiment encore vivant ?

Trop de questions. Trop peu de réponses.

Et elle fit ce qu'elle savait de mieux faire lorsqu'elle apprenait une nouvelle choquante : elle s'évanouit.

La dernière chose qu'elle vit était son capitaine se retourner et écarquiller les yeux, avant de crier son nom.

- ISABELLA !

Puis, tout devient noir.