ma perle

8.

Alors qu'esteban retrouvait son père, l'homme encapuchonné du nom de Zares apparut.

Il menaçait de tuer athanaos lorsque celui ci écarquilla les yeux et fixa un point derrière nos héros.

Zares, qu'ils ne savaient pas être Ambrosius, suiva le regard de son prisonnier.

Puis les enfants aussi. Eux, ils ne comprenait pas pourquoi les deux adultes regardaient la femme avec attention. Mais Zia compris.

Cette jeune femme, certainement un peu plus jeune que leur capitaine à la cape bleu, répondait parfaitement au description que Mendoza avait faite à la jeune inca de la femme qu'il aimait.

Elle sourit inconsciemment ce qui fit grandit la curiosité de Mendoza. Il se retourna, non sans envoyer un regard de dégoût à Adélaïde qui en faisait tout un plat pour ne pas changer, et regarda l'objet que tout le monde regardait.

Seulement là il voyait que ce n'était pas un objet mais quelqu'un. Quelq'un qui comptait plus que tout au monde pour lui. Il écarquilla les yeux encore plus grad que la lune.

Cheveux brun.

Yeux noisette.

Femme.

Duelliste.

Pistolet.

Fouet.

Belle.

Intelligente.

Isabella.

Isabella.

Isabella.

ISABELLA ?

Il l'a voyait tomber à l'inverse dû sous le choc de l'émotion. Mais bien sûr !
Il se tapa le front mentalement.

Isabella le croyait mort, il était évident qu'elle aie un réaction pareille mais lui aussi était sous le choc qu'elle soit toujours en vie.

Puis il remarqua quelque chose. Elle tomba à l'inverse oui mais elle était au bord de la falaise !

- ISABELLA !

Il cria mais son corps resta paralysé. Il ne pouvait plus bouger et tout ce qu'il pouvait faire était de la regarder tomber lentement, très lentement.

Puis plus rien, elle avait disparu. Tombé en bas dans une chute rapide et douloureuse.

C'est seulement à ce moment là que Mendoza put bouger à nouveau.

- ISABELLA !

Mais c'était certainement trop tard. On ne peut pas survivre à une telle chute.

Mais c'était trop tard.

Tout le monde était silencieux. Puis on entendit un gros "splash" dans l'eau. C'était fini. Oui, il l'avait définitivement perdue. Pour de vrai cette fois.

Il laissa échapper 1 larmes, puis 2 et enfin une troisième. Ce n'était pas possible, elle ne pouvait pas le quitter comme ça. Mais elle l'avait fait.

- En gros notre nièce est tombé et toi tu t'es pas dit qu'avec ton exosquelette tu pouvais aller la sauver ?

- Bah non je me suis pas dit qu'elle allait s'évanouir, même si elle le fait souvent.

- Tu ne la nourrit pas assez ?

- Ah non mais là je t'interdis ! Elle ne fait que me réprimander pour qu'on fasse des énormes détours pour acheter de bons fruits, des légumes frais, de la viande bien nourrissante et j'en passe.