ma perle

11.

Au fort du seigneur shimazu, 3 personnes étaient enfermés dans ce qui devait être une cellule.

Tandis que deux d'entre eux se prenait la tête pour savoir quel riz qu'on leur avait servi était le plus piquant, le dernier qui avait une cape bleu sur ses épaules regardait distraiment par la fenêtre.

Il s'était disputé avec sa bien aimée pour une chose débile dont toute personne intelligente ne se serait même pas embrouillé.

Mais têtu comme il est pour la sécurité de sa belle et le caractère bien trempé de laguerra, ça avait fini en cacahouètes.

Et le pire dans tout ça c'est qu'elle est toujours perdue dans la forêt par sa faute.

Et puis, l'homme qui descend aussi du nain à la barbe rouge, enfin roux, était en route pour Kagoshima.

Même si Ambrosius n'a pas encore de preuve certifié qu'il a été découvert, le fait que Laguerra et Angelina ont rejoint l'autre camp confirme bien des choses.

D'un côté, il était rassuré car elle n'était pas prisonnière du seigneur mais d'un autre, il était inquiet car il ne savait pas ce qu'il y avait dans cette forêt.

Peut être qu'avec un peu de chance, les enfants et Isabella se sont retrouvés.

Mais qu'est-ce qu'il lui avait pris de se prendre la tête avec elle pour une chose complètement débile ?

Il s'en voulait énormément.

Il ne fallait plus qu'espérer qu'elle et les enfants aille bien...et ses propres enfants aussi.

Il n'était pas vraiment habitué à l'idée qu'il était père depuis des années déjà, ce qui le mettait assez maladroit sur certaines situations.

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Dans la forêt, Isabella essayer de retrouver la piste de la grande boule en orichalque que son père et ses deux amis avaient trouvé il y a des années.

Sauf qu'elle n'avait pas pensé qu'elle était encore une petite fille à cette époque là et que malgré sa grande mémoire, elle ne put pas retrouver le chemine qu'ils avaient emprunter.

C'est alors que pour la 3 ème fois, elle se retrouva à l'endroit où le condor s'était posé plus tôt.

- Mais c'est pas vrai ! Et comment je fais moi pour rentrer ?

Alors qu'elle était en train de se lamenter sur son sort, d'ailleurs sa manière de se comporter lui rappelait sa sœur, elle entendit des voix d'enfants.

Mais ce n'était pas des vois d'enfants ordinaire, était ceux des enfants. Celle d'Esteban, Zia et Tao !

Leur voix étaient aussi accompagné d'autres redonnes dont celle d'une personne assez âgé.

Elle se pencha discrètement pour mieux voir ce qu'il se passait.

Il y avait bien Tao et Esteban mais Zia n'était pas là. Avait elle rêvé ?
Elle regarda mieux pour voir Zia avec une autre fille dans la condor.

Sur la rive, il y avait encore un viel homme qui semblait être le grand-père de l'autre fille avec Zia.

Oui, sa sœur s'en était sorti, malheureusement où heureusement ?

Alors qu'elle allait continuer son observation, elle entendit un bruit, un tout petit bruit mais elle le reconnut immédiatement.

C'était le bruit de la nef, à l'atterrissage.

Vu que les enfants étaient entre de bonnes mains, elle fonça vers le bruit d'où provenait certainement la nef.

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Angelina regarda ses deux amies impuissantes alors qu'elles allaient manquer d'air.

Soudain, grace à son ouïe très développé (traduction : s'est entraîné pour ouvrir une serrure avec une épingle et voler les gâteaux d'Ambrosius qui était dans un coffre) elle entendit le bruit de cailloux comme si on marchait dessus.

Elle leva les yeux malgré l'inquiétude qu'elle avait pour Zia et Maliko et aperçu une tête disparaitre.

Quelqu'un les espionnait ? Est-ce que se serait son oncle nain ? Où peut-être sa sœur ? Elle devait en avoir le coeur net.

Elle regarda une dernière fois ses amis et disparut à la recherche de cette mystérieuse personne.

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Effectivement, Isabella avait vu juste. La nef s'était bien posé assez loin pour qu'on ne l'entende pas trop mais assez proche pour qu'il ne se fatigue pas à la marche.

Pff, quel fainéant !

Caché derrière un buisson, elle observa la nef où plus précisément l'entrée du bateau volant.

Ambrosius en sorta et disparut aussitôt dans les bois après avoir verrouillé sa nef chéri.

C'est ma chance !

Elle sorti discrètement de sa cachette en vérifiant bien qu'elle n'était pas suivi où bien qu'on lui tendre un piège.

Elle déverrouilla sans problème la machine volante et entra rapidement dedans.

Elle fonça immédiatement vers la chambre de ses enfants qui devaient certainement se demander ce qu'il se passait.

Sans surprise, elle découvra la porte verrouillé à double tour avec un grand coffre devant pour s'assurer qu'ils ne pourront pas sortir s'ils déverrouiller la porte.

Elle tira un bon coup sur ce maudit coffre qui bougea malgré elle que de quelques centimètres.

Mais qu'avait-il mis dedans ?

Elle alla chercher un marteau dans le bris à brac d'Ambrosius et revint illico pour casser la serrure du coffre.

Elle y découvra plein de gros cailloux et un à un, elle les enleva et une fois que le coffre état plus léger, elle le poussa à nouveau et il libéra le passage jusqu'à là porte.

Elle sorti une épingle de ses cheveux et libéra ses enfants.

- Matéo ! Diana !

- Maman !

Ses deux enfants foncèrent sur elle et la serraient très fort dans ses bras.

- Comme vous m'avez manqué mes chéris.

- Toi aussi maman.

- M'as toi, tu étais où ?

- Votre oncle à montrer son vrai visage et a essayé de nous tuer, votre père et moi.

- Pa...papa ?

- C'est une très longue histoire. Mais d'abord il faut sortir d'ici.

À peine s'était elle retourné pour partir avec ses deux amours, qu'elle reçu un gros coup à la tête et tomba inconsciente au sol.

Tout ce qu'elle entendit fut ses enfants lui crier un dernier "maman" avant de sombrer dans l'incontinence.