Drogo une nouvelle vie à 3 (tome 2)

Chapitre 17

PDV de Rose.

Voilà maintenant quelques heures que je me suis dans ma chambre alors qu'on fête la nouvelle année, beaucoup de choses étranges ce sont passés tout au long de la soirée. Des objets personnels disparaissaient, mes amis ont fini par ne plus me reconnaître. J'étais devenue une étrangère dans ma propre maison, Une tempête de neige s'abat à l'extérieur. Je contemple se spectacle depuis la fenêtre de ma chambre, ça fait un moment que je suis seule dans cette pièce et personne n'a remarqué ma disparition. Mais malgré tout j'ai un drôle de pressentiment, ce qui a amené Drogo à me rejoindre.

Drogo : enfin je te trouve, je t'ai chercher partout.

Moi : ouais il y a peut-être que toi qui a remarqué que je n'étais plus en bas, et tu as mis du temps.

Drogo : je croyais que tu étais dans la cuisine avec les filles.

Moi : ouais... Pas grave laisse tomber.

Drogo : tu descends ?

Moi : franchement j'en ai pas envie.

Drogo : tu vas pas me laisser seul ?

Moi : bon je vais me changer, je vais mettre une tenues plus à l'aise.

Celui-ci s'avance vers moi en m'embrassant tendrement, j'appuie nôtre baiser en me pressant contre lui.

Drogo : si tu continues comme ça on ne descendra jamais.

Je lui souris, et me mords légèrement la lèvre en me retirant de son étreinte à contre coeur. Je me dirige vers le dressing, j'ouvre mon armoire qui est casiment vide. Je soupire et prends un slim, avec un top qui fait habiller mais pas trop, avec une veste longue. Je change mes talons haut avec une paire de Adidas, plus je regarde mon armoire et moins j'ai d'affaires. Je me change, et tombe sur le regard de Drogo qui est suspicieux.

Drogo : tu prépares quoi ?

Moi : rien pourquoi ?

Drogo : où sont tes affaires ?

Moi : ce qu'il en reste est là, les autres je ne sais pas où elles sont.

Drogo : tu te fous de ma gueule tout est vide.

Moi : oh ! Répondais-je surprise.

Je regarde mon armoire, je vois pourtant encore certaines affaires.

Drogo : c'est ça ta réponse oh, juste ça.

Moi : mais puisque je te dis qu'il y a encore des affaires.

Je me lève d'un bon, je prends mes vêtements en lui jetant dessus, mais celui-ci est surpris. Je ne sais pas si c'est ma réaction, ou la preuve que je viens de lui jeter en pleine figure.

Moi : c'est mieux comme réponse, soufflais-je irrité.

Drogo : c'est quoi encore ce bordel ?

Moi : si tu sais pourquoi mes amis d'enfance, et ceux de maintenant n'ont plus aucun souvenir de moi. Ou même pourquoi certains de mes objets personnels disparaissent, vas-y dis le moi.

Je finis de me charger, je pousse un long soupire. Je m'avance vers la sortie, et attrape Drogo par le col pour l'embrasser avec passion.

Moi : toi aussi tu vas finir par m'oublier, soufflais-je contre ses lèvres.

Drogo : c'est impossible.

Moi : Drogo presque toutes mes affaires ont disparu même en ma présence, alors je suppose que je vais finir pareil. Sauf que je ne sais pas ce que c'est, ni même où ça va me mener. Mais je suis sûre qu'on finira par le savoir.