It Was Always You

Chapitre 28

Je dois lui dire, tant pis si il me rejette, mais j'ai besoin de lui avouer, de dire ce que j'ai sur le cœur, je dois mettre ma fierté de coter, juste pour cette fois.

*bip...bip...bip...*

« Allo ? »

« Liam, c'est moi, Camilla »

« Pourquoi tu m'appelle a 4h du matin ? » Dit il la voix endormis.

« Tyler est la ? »

« Oui, pourquoi ? Tu veux que je te le passe ? »

« Non non ! Dit lui de me retrouver au parc de Sèvres, dans 5min, je dois lui parler c'est vraiment urgent, je t'en supplie il fait qu'il vienne ! »

Je raccroche sans même qu'il me réponde, je ressemble a une folle furieuse, je suis dans tout mes états, je comprends rien à ce qu'il m'arrive, c'est dingue.

Je prend mes clés et descend le plus vite possible de mon immeuble, je cours jusqu'au lieu de rendez vous, le parc est fermer mais je m'en fiche, j'escalade le grille et retombe à quatre patte par terre, j'entend quelqu'un s'approcher de moi, et une main ce tend vers moi pour m'aider a me relever, je remonte la tête et vois Tyler pencher au dessus de moi, j'attrape sa main, et des milliers de frissons me parcours, je me relève, tant bien que mal.

« Tu t'es fait mal ? » Demande t'il sur un ton inquiet.

« Non ne t'inquiète pas, merci »

Je lui sourit chaleureusement, mais que nous arrivent t'il ?

« Tyler, hum... je pense qu'on doit parler... »

J'arrive à discerner son visage grâce à la lumière de quelques réverbères, il est vraiment beau, avec ses cheveux noisettes, et ses yeux ténébreux, putain.

« Je pense que l'on n'a plus à rien à ce dire Camilla » M'annonce t'il d'une voix distante et... brisée ?

« Si justement, je pense, enfin... je dois de dire quelque chose d'important... »

Il ne me laisse pas le temps de finir ma phrase qu'il prend ma tête entre ses mains, il plonge sont regard dans le mien et pose fougueusement ses lèvres contre les miennes, sa langue valse avec la mienne, ce baisser me remplie de joie, et mon sang bouillonne dans tout mon corps, j'ai besoins de lui, même s'il est chiant, borner et terriblement beau.

« Suis moi » Me murmure t'il.

Il m'attrape la main et me fais sortir du parc par un trou dans le grille. Il m'emmène chez lui. Il ouvre une grille qui débouche sur une grande court, il nous dirige vers un grand bâtiment brun, dont il ouvre la porte :

« Tout le bâtiment est a moi » Explique t'il.

Quoi ? Il a un bâtiments à lui ? Dans Paris ? Ses parents doivent êtres sacrément riches ! Je n'en revient pas.

On entre dans l'ascenseur et il appuis sur un bouton qui mène au 5ème étage.
L'ascenseur s'ouvre et il me fait entrer dans, ce que je suppose être, la pièce principal.
Les murs sont blanc, la pièce est grande, il y a un énorme canapé noir qui trône au milieu de la pièce, une télé est accrocher juste en face avec des consoles juste en dessous d'elle. Sur les murs sont accrochés des cadres, noir, tous les mêmes, avec des photos à l'intérieur et au milieu des photos est accrocher un drapeau américain.

« Tu est américain ? »

« Tu ne le savait pas ? » Demanda t'il surpris.

« Si, mais je pensais que c'était faux »

Je remarque plus loin qu'il y a une cuisine, moderne et neutre, elle est relier à la pièce principal. Je remarque que tout est bien ranger, à sa place.

« C'est super bien ranger chez toi » fit je remarquer.

« Oui, j'ai une bonne qui range et nettoie mon appartement » Dit il calmement, comme si c'était totalement normal pour lui.

« Ah... »

Il pose un bol de bonbons sur la table en face du canapé et s'installe sur ce dernier.

« Vient » me dit il tout en ouvrant ses bras pour que je vienne mi blottir.

Je m'exécute et vient me blottir dans ses bras, il sent bon, il sent le parfum pour homme avec un petit mélange de monoï.
Il allume la télé et on tombe directement sur une chaîne d'information permanente.

« Bonsoir, nous interrompons tous les programmes pour vous informer qu'il y a quelques heures à peine la mafia Italienne a enfin était démantelé. Nous n'avons pas plus d'informations, mais nous avons des personnes, qui souhaitais témoigner cette nuit pour faire éclater la vérité »

Une femme qui me dit étrangement quelque chose, commence a parler, pour expliquer ce que la mafia lui a fait subir.

« Mon mari et moi avions emprunter de l'argent à un ami, qui c'est avérer être de la mafia, nous n'en savions rien, et cette argent était destinée à notre petite fille, pour pouvoir l'hospitaliser du à son cancer, elle a était très top guérie, et aujourd'hui elle va bien, mais les dettes que nous avions accumulés ne pouvais être remboursée, nous n'avions plus un sous, on a du, mon mari et moi, abandonner nos enfants à fin de fuir pour qu'il ne leurs fassent pas de mal, que ce soit à nous ou à nos enfants, ma meilleur amie, m'a prêter sa maison en Norvège pour que nous nous y cachions, mais il ont réussi à attraper mon mari avant qu'il n'y arrive, il est mort désormais, par leurs fautes, ils l'on assassiner, ils m'on tout pris, ma vie, ma richesse, ma famille, mes amis, mes enfants... »

Cette histoire, cette femme...

« Ma mère a une maison en Norvège, drôle de coïncidence » souffle t'il.

Tout devient clair... Elle devait fuir, elle ma dit dans sa lettre, la photo, tout s'explique.

« Tyler ! Comment s'appelle ta mère !? » Paniquais je.

« Rose Anderson, pourquoi ? »

« Son nom de jeune fille !? »

« Quoi ? »

« TYLER ! CEST QUOI SON NOM DE JEUNE FILLE ? » Hurlais je comme si la mort venait de me tomber dessus.

« Simon, c'était Rose Simon »

Rose Simon la meilleur amie de ma mère pendant son adolescence et qui l'ai toujours et la mère de Tyler, tout s'explique, je vient de comprendre, la femme a la télé... C'était ma mère... et l'histoire qu'elle a raconter... c'est la nôtre et... mon père... il est mort.

Je me rappelle maintenant, la nuit ou je suis rentrée en france, le cimetière, la lettre, Tyler...

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Je tient a préciser que tout ça reste évidemment de la fiction et que l'histoire à propos de la mafia est purement fictif.

J'espère que vous avait aimez ce chapitre !

Peace. Xx.