❥ Maccini (Is It Love ?) - TOME 3 : Aliénation obscure

❥ Chapitre 28

© Le roman est protégé. Le plagiat est puni par la loi. Pour rappel, le plagiat, ou pour celles/ceux qui ne savent pas, c'est ça : Définition du plagiat de l'article L122-4 du Code de la propriété intellectuelle : "Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur [...] est illicite. Il en est de même pour la traduction, l'adaptation ou la transformation, l'arrangement ou la reproduction par un art ou un procédé quelconque". Idem pour la reprise d'idées sans m'en avoir informée⚠️

*****

- - - - - PDV Sélénia - - - - -

Je suis réveillée par une claque sur mes fesses. Je sursaute, avant de me redresser, en ayant attrapé le flingue caché sous l'oreiller. Je m'assieds et tends le bras, faisant face à Maccini qui ricane.

Giorgio : - Efficace même en se réveillant. T'es parfaite, amore.

Sélénia : - Non, mais... Giorgio ! On réveille pas les femmes de cette façon !

Giorgio : - Si j'avais mis ma queue entre ces fesses délicieuses, t'aurais pas râlé.

Je grogne et lui balance l'oreiller, tandis que cet imbécile se bidonne. Il me fait ensuite un signe de tête.

Giorgio : - Allons-y. J'ai pas mal de choses à faire.

A peine a-t-il terminé que mon téléphone se manifeste. Je baisse les yeux sur les lambeaux de ma robe, et ma lingerie. Parmi mes fringues, mon portable ! Je l'attrape et décroche aussitôt.

Sélénia : - Allô ?

Duncan : - Salut Iris, c'est Duncan.

Je ne peux retenir un sourire, ce qui n'est pas du goût de Giorgio. Son grognement me parivient instantanément.

Sélénia : - Duncan ! Des nouvelles, c'est ça ?

Duncan : - Pas qu'un peu. Lorenzo s'est réveillé. Il te réclame.

Je me redresse aussitôt, comme reboostée.

Sélénia : - Les médecins ont réussi à le soigner ?!

Duncan : - Dès que je leur ai parlé de la ricine, ils lui ont donné une perf qui contenait je sais plus quoi. Heureusement, il a ingurgité qu'une dose minime du poison. Ca a porté ses fruits, tu l'as sauvé, ma belle.

Sélénia : - Mon dieu... On arrive immédiatement !

Je raccroche et me tourne vers le mafieux qui me rejoint, armant sa main autour de ma gorge. Décidément, ça va devenir une habitude.

Giorgio : - Je t'ai dit : tu es à moi !

Sélénia : - Mon cher futur mari jaloux... Notre fils est réveillé.

Giorgio : - J'ai cru comprendre... Mais la prochaine fois que je te vois sourire de la sorte pour un autre homme que moi, tu prends cher.

Sélénia : - Je me plierai pas à tes règles, Don. Tu le sais pertinemment.

Giorgio : - C'est ce qui fait ton charme...

Il vient m'embrasser fougueusement, réveillant ainsi mon corps. Il me fait reculer jusqu'au mur, ses mains venant palper outrageusement mes seins. Il les pétrit avec dextérité, puis vient pincer mes tétons qui durcissent aussitôt au contact de la pulpe de ses doigts. Une de ses paumes dévie sur mon ventre, puis ma féminité, où il insère son index. Je gémis longuement, sans lâcher son regard devenu sombre.