Je ne les laisserais pas dicter ma vie ! ~Zosan~

Chapitre 13

Pdv Zoro.

Je m'inquiète. Ça fait une semaine que Sanji n'est pas venue en cours. Je regrette un peu d'avoir réagi aussi bêtement la dernière fois,. J'aurais du rien dire et faire comme si je n'avais rien entendu devant lui mais maintenant c'est trop tard et je compte bien avoir des explications. Malheureusement je ne peux rien faire si il me l'avoue pas lui même. Je ne suis qu'un adolescent après tout.

J'ai essayé de parler à ses frères pour les faire avouer mais ils m'ont juste ignoré en disant que je devais pas leur parler car on est pas de la même classe sociale ou une connerie de ce genre. Avec Ace nous entrons en classe et nous nous asseyons à nos place habituelle. La cloche sonne et juste avant que le prof ferme la porte je vois Sanji entré dans la salle. Au lieu d'être content de le revoir je suis horrifié. Il a des bandages autour du cou et le long des bras. Je suppose qu'il en a aussi ailleurs mais je ne peux pas voir a cause de ses vêtements.

Il a des béquilles et un pied dans un plâtre mais c'est pas ça que me met le plus la rage. Ce sont ses mains. Ses mains qu'il dorlote par peur des les abîmée pour la cuisine sont recouvertes de petits bleus sur les phalanges. Ce sont des bleus qui commence à partir mais des bleus quand même. Je regarde une seconde autour de moi et vois que je suis pas le seul étonné ici.

Prof : Ho mon dieu Vinsmoke ! Que vous est il arrivé ?

Il sourit. Celui-ci est un faux. Ça ce vois tellement.

Sanji : J'ai eu un petit accident mais ne vous inquiétez pas je vais mieux maintenant.

Prof : D'accord, bon rétablissement.

Sanji : Merci.

Il vient ensuite s'assoir a côté de moi. Je le regarde. Mon cœur a mal. Je déteste le voir comme ça et je veux plus jamais le voir comme ça. Je veux que ses soucis s'arrête.

Zoro : Il faut qu'on parle.

Sanji : Non.

Zoro : Je vais reformuler, on va se parler Sanji.

Il me regarde puis détourne vite le regard.

Sanji : Pas maintenant Zoro, on a cours.

Zoro : Après ce cours.

Sanji : On a géographique après.

Zoro : Raison de plus pour parler à ce moment là.

Il ricane légèrement.

Sanji : J'avais oublié ton amour pour cette matière.

Zoro : La pire matière que j'ai jamais vu.

Sanji : Tu m'étonne avec ton sens de l'orientation pourri. Quand on est allés chez toi ta pris deux trois rues inutile.

Chez moi, il était tellement bien quand il était là bas. Je voudrais qu'il se sente libre comme ça tout le temps.

Zoro : Sanji Je-

Prof : Vinsmoke ! Roronoa ! Taisez vous. Je sais que vous pouvez pas arrêtez de vous parlez mais là nous sommes en cours alors plus de tenu messieurs.

Sanji : Excusez nous monsieur on recommencera pas.

Je chuchote maintenant.

Zoro : Bien sûr que si on va recommencer, on est des adolescents pas des machines.

Sanji : Mais ta gueule.

Zoro : Quel vocabulaire vulgaire Blondinet.

Sanji : M'appelle pas comme ça.

Zoro : Sourcils en vrille ?

Sanji : Non plus.

Zoro : Cuisinier du dimanche ?