Chapitre 5

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Pdv Zoro.

Je marche dans la cour et croise le regard d'une fille rousse. Je crois qu'elle s'appelle Nami, je me rappelle plus exactement mais je l'ai déjà vu avec Sanji. Elle est avec le même mec au long nez. Je m'approche d'eux.

Zoro : Excusez-moi ?

Nami : Oui ?

Zoro : Vous savez où est Sanji ?

Long nez : Je l'ai vue aller vers le toit.

Zoro : Merci.

Suite à ces mots, je coure vers les escaliers. J'ai peur pour toi Sanji. J'ai pas envie que tu fasse une bêtise. Je bouscule plusieurs personnes mais je m'en fiche d'eux. Je dois aller au plus près de Sanji le plus vite possible. J'arrive à la porte du toit. Il y a un homme roux. Je me suis fait chopper.

??? : Va s'y. Je suis sensé vous arrêter mais franchement Ace m'a asser saouler avec ça.

Zoro : Merci ?

??? : Appelle moi Shanks.

Suite à ça je l'ignore et passe la porte du toit. C'est pas qu'il a pas l'air sympathique mais c'est que là je m'en fou totalement. Au loin je vois Sanji. Il est dos à moi et est assis au bord.

Zoro : Sanji !

Il sursaute et se retourne vers moi. Il tient une cigarette à la main et il me regarde assez blasé. Je m'approche de lui. Nos regards se quitte pas.

Zoro : Qu'est-ce que tu fais là ?

Il ricane.

Sanji : C'est plutôt moi qui devrait te poser cette question. D'habitude personnes vien à cette heure là.

Zoro : Je suis venu pour profiter de la vue.

Je m'assois à côté de lui. Il faut y aller en douceur sinon je risque de le perdre définitivement.

Zoro : Et toi ?

Sanji : Tu le dit à personne mais j'ai l'habitude de prendre ma clope ici. À cette heure là.

Zoro : Je vois. Tu devrais arrêter.

Sanji : En effet, mais ça me fait du bien.

Zoro : À ta santé ? Tu rigole j'espère.

Sanji : Non, a mon morale.

Il me sourit. Il est beau mais c'est pas normal. J'ai peur pour lui. Je suis peut-être parano mais je préfèrerais ne pas le voir près du bord.

Zoro : Dit Sanji.

Sanji : Oui ?

Zoro : Tu voudrais pas te balader un peu ?

Sanji : Je veux pas devenir ton ami Marimo.

Quel surnom débile.

Zoro : T'es pas obligé de devenir mon ami maintenant, on peu juste faire une petite balade.

Sanji : Je sais pas...

Zoro : T'inquiète pas, on rentrera avant les cours de cette après-midi.

Sanji : Bon d'accord, mais c'est la seule fois.

Zoro : Oui t'inquiètes pas.

Si ta crue que c'était vraiment la dernière fois ta fumer mon grand. Suite à ces mots, il descend et je le suis jusqu'au bas du bâtiment. Ensuite, c'est à son tour de me suivre dans un silence pas gênant. Il brisa le silence ce qui provoqua un léger étonnement chez moi.

Sanji : On va juste faire une balade sans rien ce dire ?

Zoro : Tu voudrais que je parle de quoi ?

Sanji : Je sais pas moi, de ce que tu veux.

Zoro : Ok alors.... Ce sont quoi tes fleurs préférées ?

Sanji : Les rose bleu pourquoi ?

Zoro : Pour savoir. Moi c'est les Tulipes. C'est quoi ton restaurant préféré ?

Sanji : Le Baratie. J'aimerais tellement pouvoir travailler là bas.

Zoro : Ha ouais ? En t'en que quoi ?

Sanji : En t'en que cuisinier. J'adore la cuisine et si je pouvais faire ça de toute mes journées, je le ferai.

Zoro : Au moins t'a après les cours pour le faire.

Sanji : Je fait mes devoirs.

Zoro : Ha oui c'est vrai ça existe les gens qui font pas leur devoir à la dernière minute.

Sanji : Je travail sérieusement moi. Tu devrais prendre exemple.

Zoro : Pas besoin, j'ai quatorze de moyenne en faisant rien.

Sanji : Quatorze c'est en dessous de la moyenne.

Je le regarde septique.

Zoro : T'es sérieux ? La moyenne c'est dix. On est noté sur vingt pas sur trente ou je sais pas quel autre nombre.

Il regarde droit devant lui. Son profil est magnifique.

Sanji : Chez moi, on considère que la moyenne c'est quinze. Comme ça mon père sais qu'on sera jamais en dessous. C'est comme pour nous forcé, moi et mes frères et soeurs a toujours faire ce qui est mieux.

Zoro : Bah ton père est bizarre.

Sanji : Je sais.

Il rigole. J'ai l'impression que c'est pour ce rassurer lui-même. Il faut que je change de sujet. Je crois pas que ça famille soit bien à aborder pour le moment, on se connait pas asser.

Zoro : T'aime la musique ?

Sanji : J'ai pas trop le temps d'en écouter mais j'avoue que ce que j'ai écouté c'était bien.

Zoro : Je vois. Tu chante pas je suppose.

Sanji : Exact, la seule personne qui chantait dans ma famille, c'était ma mère. Elle était sublime, gentille et elle avait une voix magnifique.

Il dit ça avec mélancolie. Le fait qu'il parle de sa mère au passé me fait réaliser que j'ai touché une corde sensible.

Zoro : Désolé.

Il me regarde avec une sérénité étrange.

Sanji : Ne t'inquiète pas, elle n'est pas morte. Elle est juste partie nous laissant tous seuls. Puis on a retrouvé une figurine maternelle avec ma belle-mère.

Zoro : Je suis quand même désolé, je voulais pas te faire penser à tout ça.

Sanji : Tout le monde le sais alors t'inquiète pas pour ça.

Après ça, le retour c'est fait dans le silence. Une fois au lycée j'ai remarqué que Sanji était déjà assaillis de monde lui parlant comme si ils étaient amis. Je remarque aussi que Sanji a repris la comédie. Je sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression qu'avec moi, il n'arrive pas à me cacher ses sentiments, comme si je le déboussolé d'une manière ou d'une autre. J'avoue que ça m'arrange car pour l'aider, j'ai au moins besoin de ça. Lorsque je vois Ace et Hancock rejoindre Sanji, je me dis qu'il est entre de bonnes mains et m'autorise à m'éloigner. Je part donc à notre prochaine salle de cours aider par Robin. Cette fille est sympa. Elle m'aide souvent à trouver la salle. Nous arrivons devant et je m'assois par terre en attendant le prof. Robin fait pareil.

Zoro : Merci.

Robin : Derien.

Suite à ça elle sort un livre et moi je me plonge dans mes pensées en faisant semblant de regarder mon téléphone pour éviter qu'on me dérange. La suite de la journée c'est passée sans acrobaties.

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Salut ! Désolé d'avoir posté ce chapitre quinze ans après mdr. J'espère qu'il vous a quand même plut et j'espère vous revoir pour la suite. Si vous avez des idées hésiter pas. J'aime bien voir si vos idées pourrais bien aller avec l'histoire et tout ça.
Bye 😁👋

Je ne les laisserais pas dicter ma vie ! ~Zosan~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant