All of Us Are Dead X Readers [TOME 1]

Chapitre 10

Je me mis en tête de groupe, les couloirs étaient sombres et l'orage faisait toujours fureur à l'extérieur. Tout se déroulait bien, nous tombions quelque fois sur des zombies mais avec le grondement ils n'entendaient strictement rien.

- Même si, nous n'avons pas croiser beaucoup de zombie à l'intérieur dès que nous serrons dehors il faudra qu'on soit sur nos gardes. Chuchotais-je aux autres qui me répondirent « oui » par un hochement de tête.

Et j'avais raison, lorsque nous étions enfin à l'extérieur, la vigilance redoubla. Les zombies étaient partout dehors notre seul moyen de passer était de longer la façade à quatre pattes.

- Hum, tous se passes trop bien, j'ai un mauvais pressentiment. Pensais-je tout en regardant derrière moi pour vérifier que tout se petit monde me suivaient bien

Il ne nous restait presque plus rien à parcourir, nos uniformes étaient trempés à cause de l'averse. Un camion nous séparer du chemin et derrière lui se trouvait quelques zombies. Dae-su passa devant moi et me fit des signes de main pour me faire comprendre qu'il allait se charger de ses zombies. Cheong-san se leva de derrière le camion et je le vis devenir pâle quand son regard croisa celui d'un des zombies. Il commença à marcher, je le retenue par les bras mais il me poussa et sauta sur Dae-su en criant « ARRÊTE ». Je ne reconnaissais pas Cheong-san, il tapait Dae-su qui se trouvait au sol, à cause des cris les zombies furent vite alertés de notre présence, il fallait qu'on parte le plus rapidement possible. Pendant que j'essayais de retirer Cheong-san de Dae-su, les autres allaient achever les zombies. Il ne restait plus qu'un zombie, les bouts de métaux ayant servis à exploser le cranes aux autres aller s'abattre sur la tête de ce zombie mais Cheong-san se releva et cria « MAMAN » ce qui stoppa tout.

- Ce zombie... était sa mère... Pensais-je tout en continuant à le retenir mais il s'effondra au sol en pleure.

- Maman...ma...man

Je me retournai vers On-jo qui m'avait aidé à le retenir plutôt, elle était figée et son regard indiqué clairement qu'elle se retenait de pleurer. Je ne pouvais rien faire, je me sentais impuissante face à une telle situation. Des cris raisonnèrent en me retournant les zombies allaient tous dans notre direction.

- COUREZ ! Criais-je

Tous s'enfuirent mais On-jo et moi devions trainaient Cheong-san qui ne voulait pas abandonner sa mère. Au début tout le monde se suivait mais avec la panique nous fûmes tous séparer en groupes. Lors de notre fuite je tombai sur un autre groupe que je ne connaissais pas.

- Grande sœur ! S'écria Woo-jin en allant dans ses bras

- On n'a pas le temps, les zombies arrivent ! Dis-je à bout de souffle

L'autre groupe nous rejoignit et nous nous rendîmes au gymnase pensant qu'on y serait en sécurité mais autant de zombie nous attendait là-bas. Nous avions réussi à rentrer dans une des salles de stockage du gymnase, je reprenais mon souffle essayant de voir qui il manquait.

- Eh vous ! s'exclama une fille de l'autre groupe

Personne ne répondit on la fixait juste confus.

- Comment vous vous appelé ? Demanda cette même fille

- Je suis Jae-Hwa, dans le coin là-bas il y a On-jo et Cheong-san, à ma droite c'est Dae-su, Woo- jin, . À ma gauche se trouve Soo-Hyeok, Nam-ra, Joon-yeong et Hyo-ryeong . Et vous ?

- Je suis Jang Ha-ri la grande sœur de Woo-jin et là c'est Mi-Jin la fille qui vous a poser la question et c'est aussi mon amie.

Après cet échange chacun se mit dans un coin, Ha-ri était avec son frère, son amie et Dae-su. On-jo réconfortait comme elle pouvait Cheong-san, Joon-yeong ainsi que Hyo-ryeong se mirent à côté de Nam-ra et Soo-hyeok. Moi je préférais être seule, j'aimais mes amis mais mon petit caractère solitaire refaisait surface de temps en temps. J'étais assise près d'une petite fenêtre, je contemplais les étoiles maintenant que l'orage était passé, le ciel était dégagé. « Je me demandais ce que faisait Gwi-nam actuellement, avait-il mal aux oreilles ? Tout à l'heure quand l'orage grondait Nam-ra avait mal peut-être que lui aussi ? » Puis d'autre penser arriver comme « Pour qu'elle raison m'a-t-il laissé en vie ? Qu'est-ce qu'il pouvait bien penser de moi ? Était-il vraiment inquiet quand il m'a vu pleurer sur le toit ? C'est vrai que ce petit côté inquiet qu'il avait sur le toit ne me déplait pas ». À cette penser mon visage devint rouge comme une tomate et je me mis une claque.

- Je ne suis pas amoureuse de lui. Pensais-je avec conviction

Puis le sommeil me rattrapa les autres dormaient déjà à cause de l'épuisement physique et émotionnel, mes yeux se fermèrent doucement.