𝐶ℎ𝑎𝑝𝑖𝑡𝑟𝑒 17 :𝑉𝑖𝑐𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒

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Je plissais les yeux, croyant rêver, mais ce n'était pas le cas. Gandalf s'avança dans la lumière de L'aube, et j'aperçus Éomer, le neveu de roi, à ses côtés. Derrière eux se profilait une immense armée. « Les soldats d'Éomer » pensais-je. Ils restèrent quelques instant immobile, à contempler le combat, avant que, d'un seul mouvement, les chevaux se mirent au galop.
Les cavalier arrivèrent à une vitesse hallucinante au niveau d'une première rangée d'Orques qui les regardaient avec un mélange d'étonnement et d'effroi. Ils commencèrent à rompre les rang mais leur chefs leurs ordonnèrent de se rassembler. Au passage des soldats, ils furent exterminés.

Je repris le combat, le baume au cœur. L'issu de cette bataille n'allait pas être la même.

Le nombre d'Orques commençait à faiblir. Les soldats du neveu du roi étaient puissant et nombreux. Ils combattaient vaillamment.
Je retrouvai Gandalf au milieu du massacre.

- Vous êtes allé chercher Éomer. Lui dis je avec admiration.
- Ce combat est le siens autant qu'il est celui du roi. Répondit le magicien en me gratifiant d'un sourire mystérieux.

Je lui sourie en retour.

Nous finissons par prendre le dessus sur les Orques, et ceux restant prennent la fuite par la forêt. Nous étions prêt à les suivre mais Éomer nous ordonna de nous arrêter à sa lisière.

- Cette forêt et magique. Fit il. Elle sait s'occuper de ses ennemies.

Effectivement, quelques seconde plus tard, des hurlements venant de la sombre forêt se firent entendre.

Éomer, Gandalf, le roi, Gimli, Legolas, Aragorn et moi nous rassemblèrent devant celle ci. Nous attendons que les hurlements d'Orques cesse avant de déclarer victoire. Le combat était gagné.

Je lançai un coup d'œil amusé au roi, qui retrouvait avec bonheur son neveu. Éomer me salua d'un signe de tête, se souvenant sûrement de la jeune femme lui ayant mît l'épée sous la gorge.
Puis je tournai la tête vers mes amis. Bien qu'un peu amoché, tous se portait bien.
Aragorn apercevant mon regard, me sourie avec tendresse. Je sourie à mon tour. Mon cheval s'ébroua et je lui caressait la tête. Lui aussi avait connu la guerre.

Mais tout n'était pas gagné, le plus gros combat restait à venir...

À suivre ...

La quête d'Iniris IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant