The Thousand and One Roses: The White Rose (réécriture).

Chapitre 23

Warning: Scène légèrement explicite 

***

Jackson

Je ne sais pas comment nous en sommes arrivés là.

Tout ce que je sais c'est que je sens des lèvres sur mon cou.

Je ne saurai expliquer comment cette situation s'est créée. 

Tout ce que je sais, c'est que nos corps se touchent pour frissonner.

-John... je murmure

Il y a toujours cette partie de moi qui ai envie de le repousser, surtout quand nos corps se trouvent dans cette situation. Quand nos respirations se font brèves et courte. Quand nos cœurs battent à l'unisson.

Ses lèvres sont douces, ses mains sont agiles, mais les miennes semblent mieux lui plaire. A l'entente de son nom et au mouvement de mon corps pour lui échapper, échapper de son pouvoir, du désir que je ressens pour lui malgré moi. Malgré nous.

Tout est arrivé comme çà, une soirée de football, je sortais de mon plan à quatre, je descendais boire un coup il devait bientôt être dans les débuts du jour, quand je l'ai vu couché sur le canapé. Il semblait être ailleurs et comme le bon pote que je suis-je l'ai bien vanné sur son état. Pendant la soirée je l'avais vu monter avec une magnifique jeune femme, j'en présumais que comme moi, nous allions passer un bon moment chacun de notre côté.

Mais il semblerait que sa partenaire ne soit pas celle qui puisse le faire décollé. Il en était littéralement déçu.

Je m'étais assis, j'avais parlé avec lui longtemps tout en s'échangeant notre boisson préféré, du scotch. Jacob, John, et moi sommes amis depuis si longtemps. Je n'ai jamais pensé à avoir des relations intimes avec l'un d'entre eux, ni avec aucun homme. Mais quand la main de John s'était posé sur mon genou, qu'elle était remontée comme l'alcool dans mon corps. Je n'ai fait que succomber quand nos lèvres se sont rencontrées. Je n'ai d'abord bien sûr pas compris. Nous nous sommes regardé surpris, il a passé tout comme moi ses mains dans ses cheveux avant de regarder le sol sous le choc de nos agissements.

Soudainement nos lèvres étaient de nouveau scellé, mais dans l'intimité d'une chambre. J'avais caressé du bout du doigt son corps que les filles admiraient tant. Ce sont des gestes maladroits qui nous ont fait désirer l'un l'autre, je crois que l'alcool aussi nous faisait sentir des choses.

J'ai frissonné de peur et de plaisir quand ses lèvres ont frôlé ma V-Line.

-Je crois que c'est comme ça qu'on fait... si je me rappelle les gestes que font les nanas. Dit-il légèrement amuser et tendu

Je ris légèrement puis envoie mon bassin valsé quand il enroule sa main puis sa langue autour de moi.

Merde, mais on fout quoi la ! Si quelqu'un arrive c'est notre fin, fin de notre réputation. Et si Jacob nous voit !

Je suis gêné et excité quand sa langue s'enroule sur ma longueur, surprit d'aimer ça.

Nous avions fini par faire ce que nous nous amusions à nous moquer. Le sentir en moi fut effrayant et plaisant. Et le lendemain était gênant et rempli de secret. J'avais goûté John et il m'avait goûté. J'ai cru que Jacob avait cramé, car il m'avait appelé quand les hanches de John cognait contre mon derrière, nous étions arrivé ensemble sur le parking aussi. Et si John agissait comme-ci rien ne s'était passé, je me sentais mal d'avoir agi de la sorte.