Chapitre 21

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Petite note de début :

Holà,
Les filles, et les garçons, ce chapitre contient des passages à caractère sexuel. Non consentit et violent !! Si vous êtes mal à l'aise ou que cette scène vous dérange, n'hésitez pas à la passée, je vous ferais un résumé rapide et sans détaille dans la note de fin !

PS: je ne plaisante pas c'est pas dû joli, mes copines qui lisent les chapitres avant vous sont d'accord avec moi !

Prenez soin, de vous ! Et faites attention !

Bonne lecture !!

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~ Dominic ~

Les premières pages sont entièrement remplis d'une écriture tremblante et parfois un dessin bien gore vient s'ajouter au schéma. La curiosité est trop forte, je veux savoir. Si Emeraude s'amuse à fouiller dans mes affaires comme je suis en train de le faire je l'étripe mais je veux absolument savoir ce qui peux bien se passer dans sa tête. Je veux savoir pourquoi est ce que je me comporte différemment avec elle.

Depuis qu'elle est arrivée, je ne fais rien comme d'habitude. Déjà je ne l'ai pas tuer quand elle était dans la cave, elle vit dans une des chambres de la maison, peut se balader dans la maison, je m'assure qu'elle soit en bonne santé, qu'elle mange à sa faim et qu'elle se sente bien.

Julie a raison, même si je ne l'admettrai pas à voix haute, il y a quelque chose qui m'attire chez Emeraude. Ce n'est pas physique, c'est autre chose que je ne comprend pas.

J'aurais pu simplement la tuer, ou la garder enchaîner dans la cave pour lui soutirer les informations que je voulais, elle aurait forcément finit par craquer et par parler. Mais bizarrement ce n'est pas ce que j'ai fait. Pourquoi ? Aucune idée.

J'ouvre une page au hasard et commence ma lecture.

CARNET D'ÉMERAUDE, IL Y A PLUSIEURS ANNÉES.

« J'ai mal partout. Mes membres sont lourds et mon dos me brûle. Je sens le sang coulé sur ma peau et tracer son chemin jusqu'à la chose qui me sert de matelas. J'ai envie de pleurer, de m'effondrer mais si je le fais la punition sera encore pire que ce que m'a fait Solton il y a quelques heures.

Je suis allongée sur le dos, complètement nue. Le matelas de fortune qui me sert de lit sent le sperm, le sang, la transpiration et le moisis. La pièce entière sent la mort.

D'ici j'entends les filles qui sont en bas, à la cave. C'est là qu'elles vont quand elles arrivent ici. Souvent elles y restent une semaine le temps pour les hommes de Solton de les éduquer et après elles lui servent quelques jours avant d'être revendus.

Des fois je suis fière de me dire que j'y suis rester au moins un mois, d'autres je me dis que j'aurais mieux fait de me soumettre tout de suite, j'aurais sûrement moins attirer l'attention de Solton et me serais éviter de nombreuses douleurs.

Leurs cris et leurs gémissements de douleurs ne sont pas les seuls bruits que j'entend venant d'elles. Il y a quelqu'un dans le couloir, aux bruits des pas irréguliers et rapides, je dirais qu'ils sont nombreux.

Non pas encore. Pas maintenant, j'ai mal partout. Je vous en pris faites que ça s'arrête...

Mon cœur bat la chamade dans ma cage thoracique, j'ai l'impression qu'à tout moment il peut s'échapper. J'ai peur, j'aimerai pouvoir me recroqueviller sur moi même et disparaître. Mais je ne peux pas bouger, j'ai seulement réussi à basculer sur le ventre depuis que l'un des sbires de Solton m'a balancé comme une sous merde sur le matelas en m'ordonnant de ne pas bouger.

Don't cryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant