TW : mutilation
Le début de ce chapitre est vraiment triste.
J'écris pour le plaisir et que pour mes quelques lecteurs prennent plaisir à lire, pas pour qu'ils aient des idées pour se faire du mal...
Malheureusement, beaucoup de personnes se mutilent et peut-être que certains de mes lecteurs l'on déjà fais ou on déjà essayé ou bien y on songé, alors je vais vous adresser un message :
La vie est dure, combler de défis, mais tu es fort(e).
Je le promet, tes problème que tu vis vont s'évaporer, tel des feuilles qui s'envolent grâce au vent. Peu importe le temps que ça prendra, ça arrivera. Tu vas y arriver.
Si tu as besoin de parler, mes dm sont grand ouvert (insta : lovlyromances)
Chaque personne sur ce monde mérite d'être heureux, tiens bon.
Et n'oublie pas que les meilleures années de nos vies sont celles que nous n'avons pas encore vécues.
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Point de vue d'Idore, 20 juin ; 13 heures
(TW : mutilation)
La noirceur et le silence de la pièce en dit long sur ma santé mentale.
Ma main dessine des formes sur mes bras à l'aide d'une lame qui me fait terriblement mal.
Et c'est ce que je veux.
Une fois mes bras écorchés, je passe aux cuisses.
Les deux grosses choses qui me servent de cuisses.
Ma main dessine, mon cœur saigne.
Je continue, sans jamais m'arrêter, les cuisses et les bras en feux.
Rien ne m'arrête.
« Pense à manger moins, tu es pleine de gras ! »
« Tu te ressers ? Tu ne penses pas que tu as assez mangé ? »
« Une belle femme, doit avoir un ventre plat ! »
« J'ai une réduction sur un régime, ça t'intéresse ? »
« Pense à manger moins, l'obésité va bientôt arriver... »
« Tes cuisses sont aussi grosses que celles d'un taureau ! »
« Je sais pourquoi tu sais nager, c'est parce que ton ventre te sert de bouée... »
« Je parie que tu fais quatre-vingt-un kilos ! »
« Si tu étais moins grosse, j'aurais peut-être pris ton numéro et encore....»
Tout ça en l'espace de dix-neuf ans.
Frôler la mort...
Être sauvé, mais perdre mon père.
Devoir me reconstruire seul dans une vie que je hais.
Tout ça en dix-neuf ans.
Perdre celui qui me faisait rester en vie.
Perdre celui pour lequel mon nouveau cœur battait.
Les mains tremblantes et les larmes aux yeux, je pose la lame. Celle qui me libère puis qui m'enferme dans une cage où l'enfer est mon seul allié.
Je marche lentement jusqu'à la salle de bain avant de finir de me déshabiller.
Je rentre sous la douche et allume l'eau.
La fraîcheur de l'eau, repassant sur mes cicatrices toutes fraîches, me fait en même temps un bien fou et me torture.
J'ai mal, je souffre.
Et c'est ce que je veux.
Je suis en vie alors que je ne le mérite pas.
J'aurais dû mourir il y a un an. Ils auraient tous dû rester en vie, j'aurais dû mourir.
Au coin de la rue, se trouve le salon de tatouage, au coin de ma main se trouve une photocopie de la lettre qu'Eston m'a écrite. Le vent transperce mes cheveux et me rappelle que je suis vivante, avec un cœur qui bat.
Mes jambes marchent sans même que je ne les contrôle.
Je rentre dans le petit salon accueillant aux couleurs des États-Unis. Les couleurs sont chaudes et me font me sentir bien. Une légère mélodie en fond accompagne mes pas.
Je croise le regard du rouquin, il me prend directement dans ses bras et me chuchote à l'oreille un léger « désolée ».
Il m'explique qu'il est revenu plus tôt de son voyage pour être là pour Lazario ainsi que pour reprendre le salon.
Il m'installe sur le fauteuil, désinfecte la zone qu'il s'apprête a tatoué.
Je sens l'aiguille transpercer ma peau sensible en bas du dos et titille. Mais je reste dans ce fauteuil, pendant plus d'une heure.
Le résultat est magnifique.
« Remember me. »
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Coucou,
j'espère que ce chapitre vous aura plus même s'il est assez triste...
Ce chapitre me tenait à cœur, car au passage où Isore se remémore toutes les phrases qu'on ait pu lui dire du fait qu'elle est « quelques kilos en trop » il a certaines phrases que l'on m'a déjà dite... Et les écrire m'enlève un poids.
Parfois, on a besoin de parler, pour ma part, j'ai écrit ce que je voulais dire.
Je le poste aujourd'hui parce que j'ai oublié de le poster hier (pour changer les bonnes vieilles habitudes de Zoé), j'espère que ça ne vous dérange pas.
On se retrouve la semaine prochaine pour un nouveau chapitre,
Zoé 💗
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Un été sans toi
RomanceAlors que ses dix mois aux États-Unis prennent fin et que son amour pour Eston déborde de plus en plus, un drame survient. Un drame qui lui arrache une partie d'elle-même. Le chagrin et la dépression l'engloutissent peu à peu et ses démons qu'elle p...
