Chapitre 35

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Mendoza Sancho, Pedro et Athanaos rentrèrent au château arriver dans les quartier qui leur était dédié il trouvèrent un Gaspard devant la cheminée qui mis un doigt sur ses lèvres.

G: chut. Tout le monde dort.

A: Esteban est au lit ?

G: oui Isabella la mis dans son lit en premier.

Athanaos remercia Gaspard et alla voir son fils endormi. Il se pencha sur lui et lui embrassa le front.

E: papa ?

A: oui mon grand?

Il s'assit sur son lit et caressa les cheveux de son fils.

E: tu était ou...

A: parti manger avec Mendoza Sancho et Pedro.

Esteban se déplaça et se mis dans les bras de son père.

A: je suis désolé... J'ai pas été un bon père...

E: je m'en fiche... Maintenant tu est la et on va rattraper le temps perdu !

Athanaos serra son fils contre lui et le recoucha avant d'aller à son tour se coucher.

Le lendemain matin Esteban trouva Zia assise sur un banc dans le jardin de Chambord.

E: salut Zia !

Z: bonjour Esteban bien dormi ?

E: oui.

Il s'assit a coter d'elle et la laissa se mettre contre lui.

Z: j'aimerai bien qu'une fois tout fini... On reste ici.

E: tu veux rester ici finalement ?

Z: oui. Je me sens chez moi ici. Enfin je me sens bien partout des que je suis avec toi.

Esteban rougie et Zia lui fit un bisous rapide sur les lèvres. Elle rougie aussi et les deux élus se mire l'un contre l'autre pour parler.

E: je t'aime ma Zia... Je te protégerai toujours !

Z: je t'aime aussi Esteban !

Elle sourit et il lui embrassa la tempe.

Un peu plus loin Isabella lisait son livre.

M: Isabella...

Elle releva la tête pour voir Mendoza s'approcher d'elle. Elle lui fit une place à côté d'elle et il lui pris la main.

M: tu a vue...?

I: Zia et Esteban ?

M: oui... Ça grandis trop vite.

I: moi ça m'étonne qu'ils se soit pas avouer leur amour avant. Sa se voyait comme le nez au milieu de la figure qu'ils étaient amoureux.

Mendoza lui serra doucement la main.

M: mmh ta peut être pas tord. Même sur le bateau pour le nouveau monde ils étaient inséparable et toujours prêt à tout pour l'autre. Même en dormant ils étaient blottit contre l'autre.

I: haaa l'amour. C'est quelque chose d'étrange non.

Elle regarda Mendoza qui lui sourit.

M: peut être... Mais c'est un des plus beau sentiment du monde...

I: vraiment?

M: oui...

Il pencha et l'embrassa avec douceur.

I: je t'aime...

M: moi aussi... Je t'aime tellement

les mystérieuses cités d'or fanfiction Où les histoires vivent. Découvrez maintenant