Chapitre 38

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Après plusieurs jours le médecin du village pris Mendoza à part.

Me: son état s'aggrave. Vous devriez penser à...

M: a quoi donc?

Il sentit son cœur battre très vite.

Me: à la laisser partir. Elle survivra pas.

Mendoza pris sa tête dans ses mains. Il savait que ce que le médecin disait était vrai et qu'elle survivra pas. Mais d'un autre il voulait croire qu'elle réussirai à battre le poison.

M: vous ne voulez rien faire d'autre ?

Me: Je peut rien faire. Soit vos amis trouve une solution soit elle meurt c'est tout.

Mendoza sentit une rage monter en lui. Il voulait frapper le médecin. Il fit demi tour et retourna au chevet de Laguerra qui souffrait de plus en plus.

Son teint était très pale, ses joues creuses, la fièvre ne tombait pas. Il se pencha et lui donna de la soupe et du jus de fruit puis de l'eau.

M: Isa... M'abandonne pas... Je sais même pas si les alchimistes recherche un antidote...

Il lui pris sa main et la porta a ses lèvres pour l'embrasser.

M: mais je t'abandonnerai pas. Même si tu dois...

Il lacha un sanglot.

M: enfin voilà... On se battera ensemble jusqu'au bout !

Il serra sa main et ferma les yeux pour se reposer un peu. Soudain Zia débarqua.

Z: MENDOZA !

M: oui quoi !?

Elle lui tendis une fiole.

Z: on a réussi à faire que cette dose la. Ça va l'aider à aller mieux. Tu lui donne tout maintenant.

Elle lui mis dans la main. Et elle reparti à toute vitesse continuer à faire de l'antipoison. Mendoza se dépêcha de lui donner.

M: courage... Bois tout !

Elle bus toute la fiole et Mendoza regarda Laguerra en cherchant tout signe que l'antipoison fesait effet. Il soupira en voyant aucune différence et alla chercher à manger. En revenant il vis avec bonheur que la fièvre était enfin tombé.

Le médecin du village regarda septique la guérison de Laguerra. Mendoza donna régulièrement l'antidote à sa belle bretteuse. Zia resta a coter d'eux deux, plusieurs jours plus tard elle repris enfin connaissance.

M: Isabella ! Comment tu te sens ?

Z: doucement Mendoza... Elle est pas encore en état de répondre.

M: quoi ?

Z: le poison est très fort... Regard elle ne regarde même pas autour d'elle.

Il regarda la bretteuse qui avait le regard vide presque sans vie.

M: elle... Va reprendre sa vie comme avant pas vrai ?

Zia ne répondis pas.

M: Zia !?

Z: si... Le poison a atteint son cerveau... Non...

M: bon dieu...


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