les mystérieuses cités d'or fanfiction

Chapitre 44

Mendoza chercha Laguerra partout pour s'excuser , il fit toute les pièces du château une par une. Le roi le voyant chercher l'appela.

R: qu'est ce que vous cherchez Mendoza ?

M: je cherche Isabella.

R: mais elle est parti en mission pour la nuit au moins.

Mendoza dégluti et se souviens de ce qu'elle avait dit : je part travailler.

M: par la mal peste !

R: votre langage.

M: veuillez m'excuser majesté. Merci de m'avoir prévenu.

Il parti à toute vitesse à la recherche d'information sur la mission mais personnes ne lui dit quoi que se soit. Il du se résoudre à veiller toute la nuit en attendant son retour.

Étienne et Isabella c'était arrêter et cacher dans les arbres près d'une maisonette abandonné.

E: au moins il est la.

L: oui. Il va pleuvoir je pense pas qu'il sortira.

E: il va pleuvoir ?

Elle le regarda blazer. Et montra un gros nuage

L: observer le ciel de temps en temps peut être pratique.

E: en effet. Ça tourne à notre avantage cette fois.

L: exactement.

Il se mis à pleuvoir une énorme averse.

E: la c'est plus une pluie c'est une tempête.

L: Allons le chopper maintenant et rentrons avant de d'attraper la mort. Je pense pas que la mort m'épargnera encore une fois.

E: comment ça ?

L: rien allons y.

Elle sauta de 15 mètres de haut et tomba sans aucune douleur.

E: comment ?

L: entraînement. Vous venez ou je dois me débrouiller seule ?

E: ça va ça va j'arrive !

Il descendis plus doucement avant de mettre les pieds dans une énorme flaque de bout. Laguerra s'attendis a des jurons.

L: mince vos bottes.

E: c'est que des bottes. Je le laverai plus tard.

Elle sourit et Étienne rougis avant de tourner la tête avant qu'elle le vis.

L: Allons y!

E(pensé) : je suis censé être espion. J'ai pas le droit d'avoir de sentiment. De toute façons c'est qu'une seule mission.

E: passons par une fenêtre arrière. Il doit manger.

Elle le suivis et ils entrèrent dans le plus grand silence. Ils se regardèrent et avancerent dans la piece principale ou se trouvait le faussaire en train de manger.

E(avec des signes) : Allons y. Soyons discret et attrapons le.

Elle accuissa et les deux s'approchèrent sans un seul bruit digne des chats.

Le faussaire eu à peine le temps de comprendre ce qui se passait qu'il était déjà attraper et attacher.

F: qu'est ce que... Vous êtes qui vous !? Prenez l'argent et libérer moi !

E: vous nous prenez pour qui ?

Pendant que les deux hommes se battaient Laguerra chercha d'autres documents. Elle en trouva plein. Elle se tourna vers Étienne qui se disputait avec le faussaire.