Vermilion [Taekook]

Chapitre 56

Bonsoir les amis ! ^-^

Avec un jour de retard, voici la suite de Vermilion ! Merci pour votre patience !

Bonne lecture ~ ♥

********************************

"Viens là."

Jungkook m'attira à lui. Je me laissai étreindre par ses bras forts. Il avait dû sentir que mon cœur était sur le point d'imploser.

Il ne restait qu'un jour, précisément, avant...

...Avant quoi, d'ailleurs ?

"Tae.

-Ca va..." Soufflai-je.

Avant le rendez-vous ?

Ou avant la guerre ?

"Tu sais ce que tu dois faire ?

-Oui.

-Énumère-moi tout ce que je viens de te dire."

Je m'installai plus confortablement sur ses cuisses. Mon vampire se plaça au fond du lit, dos au mur, en position assise. Il caressait ma colonne vertébrale pour me réconforter. Mais rien ne le pouvait réellement.

Je m'étais toujours demandé ce que ça ferait, d'être la veille d'une guerre.

Maintenant que j'y étais, je dirais que je n'ai aucune idée de comment je me sens.

"On entre dans l'Atlantide, puis on... On attend la nuit.

-Mmh. Après ?

-A l'heure du rendez-vous, sans se faire voir si possible, on va aux frontières et on aide les autres à les passer.

-Mmh mmh.

-Puis on va tuer Jin."

Ses doigts se faufilèrent dans mes cheveux. Je collai mon front contre sa mâchoire.

"Jungkook, c'est certain qu'il y aura des complications.

-Je n'ai pas dit le contraire.

-Ce serait trop simple si tout se finissait comme ça. D'un coup de baguette magique. Je ne parle pas de la puissance de Jin mais... De choses qu'il a dû préparer derrière le dos de tout le monde.

-Ouais, j'imagine bien qu'il a plusieurs cartes. Mais on en a aussi.

-Comme quoi ?

-Nos nouveaux alliés.

-J'ai davantage confiance en tes yeux blancs."

Silence.

"Pas moi.

-Ah bon ? Demandai-je, surpris.

-Je sais pas encore correctement me contrôler.

-Tu ne m'as pas fait de mal, dans la forêt. Tu as su te contrôler.

-C'était la première fois. Je sais pas si je vais pouvoir-

-J'ai confiance en toi."

Il soupira et me pressa davantage contre lui. J'embrassai son cou, qui était tout juste face à mes lèvres.

"Comment on va faire pour ne pas se faire repérer demain... ? Murmurai-je, inquiet.

-On se réfugiera chez ma mère.