Till the end | Bangchan

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CHAPITRE VINGT-QUATRE

Un mois était passé depuis ma rupture avec Bangchan et je me reprenais en main petit à petit.
J'avais fini par rendre l'appartement de Hyunjin et j'avais trouvé un boulot en tant que barmaid dans un bar à Itaewon. J'étais vraiment retourné à ma vie d'avant.

La sonnerie de mon téléphone me fit sortir de mes pensées et je répondis.

- Allô ?

- T/p ça va ? C'est Felix.

- Je sais ton nom est affiché, et oui je vais bien et toi ?

- C'est vide sans toi mais ça va.

Ils m'appelaient presque tous les jours chacun leur tour pour voir si j'allais bien.

- Tu ne vas toujours pas nous dire où tu travail ?

- Non Felix, je ne veux pas que vous venez sur mon lieu de travail.

- D'accord.. Bon je te laisse travailler tranquillement alors, bon courage et prend soin de toi.

- Merci vous aussi les gars.

Je raccroche et retourne derrière le comptoir pour servir les clients.
Le bar se remplissait de plus en plus et je commençais à avoir du mal à gérer les commandes seule alors mon patron vint m'aider.

- Tu t'en sors t/p ?

- Depuis ton arrivé ça va.

- C'est toujours plein le vendredi soir.

- Normal c'est le week-end quoi.

Nous nous sourions et continuons de travailler. Suho était le patron du bar le Lotus et il était plutôt sympa. Il était stricte sur le travail mais il était quand même cool en vrai. Ça lui arrivait souvent de venir en aide au bar ou en salle quand il y avait des débordements donc ça nous aidaient vachement.

La cloche sonne pour nous annoncer l'arrivée de nouveaux clients et nous les accueillons.

- Bonsoir bienvenue au Lo.. tus.

- T/p ? Tu travail ici ?

C'était Han.

- Qu'est-ce que tu fais là avec Changbin ? réussis-je à dire

- On voulaient prendre un verre et l'enseigne nous a attiré.

- Il n'y a que vous ?

- Non il y a aussi Cha..

- Pourquoi vous ne m'avez pas atten.. T/p ?

Ça ne pouvait vraiment pas être pire. Pourquoi est-ce qu'il était la ?

- Ça va ? Tu es toute pâle tu veux faire une pause ? me demande Suho

- Je.. Ouais désolé..

- C'est bon c'est rien.