Till the end | Bangchan

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CHAPITRE TRENTE-HUIT

Nous arrivons la clinique et Jonghyun me fait passer diverses examens.

- Ok, est-ce que tu as eu des migraines dernièrement ? me demande t-il

- Oui hier et je me suis souvenue de quelques trucs.

- Oh ? C'est vraiment bien mais il faudra quand même faire attention. Continue de prendre tes cachets et il faudra que tu vienne à la clinique au moins une fois par semaine.

- Donc elle peut rentrer ? demande le blond

- Oui elle peut et plus besoin du fauteuil. Il faudra juste qu'elle fasse un peu de rééducation pour récupérer correctement l'usage de ses jambes.

- Oh t'inquiète pas pour ça je m'en occupe très bien.

Il me fait un clin d'oeil et j'ai juste envie de disparaitre.

- Comment ça ? Tu lui donne des séances de sport ? demande t-il innocemment

- Oh bien plus que ça.

Je lui donne un coup de pied dans le tibia et tire sur sa cravate pour l'abaisser à ma taille.

- Tais-toi si tu ne veux pas que je te casse une jambe. lui dis-je en chuchotant avec un ton menaçant

Il me fait un sourire forcé et je le relache sous le regard incompréhensif du docteur.

- Vous avez l'air de mieux vous entendre.

- On est ensemble. lâche t-il comme une bombe

Mais il veut que je le frappe encore ?

- Ah ? Je suis content pour vous alors. T/p on se voient la semaine prochaine ?

- À la prochaine Jonghyun et merci encore pour tout. dis-je

- C'est avec plaisir, tout ceux qui sont importants pour Chan le sont pour moi.

Le concerné lui donne une tape sur l'épaule pour le remercier.
Nous disons au-revoir à Jonghyun puis rentrons à la villa.

J'ouvre la fenêtre et observe le paysage qui défile sous mes yeux.
J'inspire un bon coup, l'air frais me faisais du bien.

Bangchan entrelace nos mains et l'attire vers son visage pour y déposer un baiser sur le dos de ma main.

Je lui lance un sourire tendre. Pourquoi est-ce que j'ai une impression de déjà vu ?

- On rentre à la maison.

Sa phrase résonne dans ma tête et pour je ne sais quelle raison une larme coula le long de ma joue.

- Eh~ Pourquoi est-ce que tu pleure ?

J'essuie ma larme et lui souris une nouvelle fois.

- Pour rien, j'ai juste l'impression de pouvoir enfin respirer normalement sans avoir à me soucier de ce qu'il pourrait arriver.