More Love 001~ Croire En L'Avenir

04

Kent

La pluie c'est arrêter depuis de longue heures, le soleil arrive à se faire un passage entrent les arbres, bonnet sur la tête, je coupe encore et toujours du bois, ça me soulage, me détend, j'ai encore reçu un appel de mon manager auquel je n'est pas répondu. J'imagine sa tête sur le tronc d'arbre. Je remet un bout de bois en place, attrape ma hache et la lève au dessus de ma tête. Je suis arrêter dans mon hélans par le petit bout de femme qui me sert de voisine. J'abaisse m'a hache. Son sourire sur ses lèvres n'augure rien de bon.

- Qu'est ce que tu veux ? Lui demandais-je une fois qu'elle se trouve près de moi.

- J'ai besoin que tu m'apprenne à couper du bois.

J'éclate de rire.

- Pardon ? Dis-je en riant. Elle est bonne cette blague.

- Je ne rigole pas ! L'hiver va pas tarder et comme tu le sait je me chauffe au bois.

J'arrive à calmer mon rire après quelques minutes, ses bras croiser sur sa poitrine la met en valeur.

- Tu est vraiment mignonne mais tu n'arrivera jamais à monter la hache au dessus de ta tête pour éclater un morceau de bois. Alors je pense que tu dois penser à autre chose.

Son regard noir me fusille, elle laisse tomber ses bras le long de son corps, me tourne le dos, elle commence à s'en aller.

- Attend !

- Je ne suis pas d'humeur à se que tu te moque de moi.

- J'ai une solution.

- Je t'écoute, me dit-elle intéressée.

- Je te coupe ton bois mais en contre partie je veux que tu me fasse à manger tout les soirs. Ça sent vraiment bon chez toi et j'en ai marre de manger tous le temps là même chose.

Un grand sourire fend son visage.

- Très bien marcher conclue ! Tu a des allergies où d'autre truc ?

- Non.

- Super, le dîner est servie à dix-neuf heures trente. Ne soit pas en retard.

Phoebe se retourne et s'en va, bon au moins je vais manger un bon repas chaque soir, quelques minutes plus tard  j'entends sa voiture s'éloigner. Je vais pouvoir enfin être tranquille un petit moments. Plusieurs heures plus tard, et du bois couper, je décide d'aller prendre ma douche, il est déjà dix-sept heure trente.
Ce soir je compte lui demander des explications sur ce qu'elle compte faire de la maison, j'ai besoin de savoir si ma tranquillité va pouvoir continuer où pas.
Après mettre laver, j'entends mon téléphone sonner, simplement vêtu d'une serviette autour de la taille, je l'attrape. Encore lui, je sais qu'à la fin je vais devoir lui répondre. Mais le plus tard possible. Une fois habiller d'un sweat à capuche et d'un survet, je quitte ma maison et me rend chez ma voisine. A peine arriver à sa porte quune bonne odeur parvient à mes narines. Je frappe.

- Entre ! Entendais-je.

Je referme la porte derrière moi, essuie mes pieds puis avance dans cette maison que je connais par cœur, je venais souvent boire un verre chez son grand-père, Phebe est dos à moi, devant sa cuisinière.

- Poulet et ses pommes de terre au four.

- C'est parfait et ça sent très bon.

- Merci, dit-elle en se retournant.

Elle me regarde en souriant, c'est vrai qu'elle est mignonne, qu'elle a un beau sourire, je suis rester plusieurs fois fixer sa photo qui était poser sur un des meubles, elle était un peu plus jeun, mais elle n'as pas changer. Je secoue la tête, je ne dois pas perdre l'objectif de ma venue.

- Installe toi, ça ne ça pas tarder à être prêt, que veux tu boire ?

- Une bière si tu as.

- Oui.

Je la regarde ouvrir son frigo, nous sortir deux bouteilles d'une marque très connu. Je la prend en la remerciant.

- Ta journée c'est bien passer ? Me demande-t-elle.

- Oui, comme d'habitude.

- Je voulais m'excuser pour l'autre jours.

Je la regarde surpris.

- Pourquoi t'excuser ?

- Bah ma façon de t'avoir dit que je savais qui tu était, ton visage me disait quelques chose mais ça ne me revenait pas.

- Pas de problèmes et je devrait moi aussi te présenter des excuses. Le jour où tu est arriver je n'aurai pas du débarquer avec mon fusille.

- Oui, tu aurais pu éviter, tu sait que c'est la première fois qu'on braquait une arme sur moi, finit-elle par dire en souriant.

- Désoler, souriai-je à mon tour.

Phoebe fini par déposer le repas sur la table, j'ai déjà envie de tout dévoré. Nous nous servons, j'ai tellement envie de lui poser des questions que ça me brûle les lèvres.

- C'est vraiment très bon.

- Merci, j'adore cuisiner.

- Qu'est ce que tu ferait avant d'arriver ici ?

- Je travaillais dans une banque.

- C'est vrai ? Et tu a décider de tout quitter pour venir ici ?

- Oui.

L'atmosphère se refroidis.

- Que va tu faire de cette maison ? Je veux dire tu va la vendre ? Retourner à ton boulot et vivre en ville ?

- Ce n'est pas dans mes projets. Puis je pourrais aussi te poser des questions sur ta soudaine disparition des terrains ?

- Ça ne te regarde pas, dis-je froidement.

- Eh bah mes problèmes de boulot ne te regarde pas non plus.

- Pourtant je suis en droit de savoir ce que tu compte faire de la maison, je voudrais pas me retrouver avec des voisin indiscret où même pire.

- Nous verrons bien.

Je me lève d'un bon.

- Je ne te laisserais pas vendre cette maison à n'importe qui !

- Je fait encore ce que je veux, hurle t-elle.

Je quitte cette maison, plus énerver que jamais, j'ai envie de tout casser ! Qu'est ce qu'elle est énervante ! Bordel, j'ai bien manger même si notre petite dispute a écourter le repas, je suis épuiser, j'attrape une bière et me pose dans mon canapé, la télé allumer sur un match de foot.
Mais je n'arrive pas à me calmer, je ne vais pas au lit avant un petit moments, trop énerver par tout ça.
Pourquoi elle est venue s'enterrer ici, une femme comme elle doit vivre en ville, mais pas ici.