Chapitre 1: La rencontre

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17 février 1920

Je me trouve dans la rue principal de la ville de Birmigham, je marche avec ma petite valise dans la main droite et des papier dans la main gauche, je cherche l'adresse 110 Garrison lane, j'ai vue dans le journal qu'il recherche une serveuse pour le bar, étant donné que je viens d'arriver en ville, il me faut un travail pour payer la petit maison que je me suis trouvé,
je pourrais tenir environ trois semaine
avec l'argent qu'il me reste, mais pas
beaucoup plus.

Je me trouve enfin devant la porte d'entrer du Garrison, je souffle un bon coup avant de pousser la porte et de rentrer dans le bar, il y a un homme à l'intérieur, il passe le balai avec une cigarette à la bouche.

Je m'éclaircît la gorge et lui dit :

« Bonjour, je viens pour la place de serveuse. »

Il lève la tête et me regarde bizarrement.

« Vous êtes folle ! »

Je le regarde confuse.

« Excusez- moi ? »

Il arrête de balayer, souffle la fumer de ça clope, puis me dit en pointant du doigt le décor de la pièce :

« Vous connaissais cette endroit ? »

« J'ai lu l'annonce dans le journal et »

« La place est prise »

Il me coupe puis retourne à la tache qu'il fessées.

« Mes l'annonce date seulement de ce matin. »

Il s'arrête une fois de plus pour
me regarder.

« Croyez moi ma jolie, je vous rend service. »

« Je n'ai pas besoin qu'on me rende service, je suis là pour un emploi ! » je lui dis fermement.

Il me regarde de la tête au pied.

« Vous êtes trop ... gentille . »

« Quand savez vous !? » je lui demande légèrement choqué.

« Et trop mignonne ! Ils risquent tous de se jeter sur vous. »

« J'ai de l'expérience et des références » je m'approche de lui et lui donne les papiers qui sont dans ma main, il les prend est les lis.

« Vous venez de France ? »

« Oui, de Paris. »

Il me redonne les papiers et me regardant encore une fois.

« Vous êtes trop jolie.»

Dit-il toujours appuyé sur son balai.

« Monsieur, laissez moi au moins une chance, si vous voyez que ça ne marche pas je partirai sans faire d'histoire mais laisser moi vous le prouvez. »

« Vous êtes plutôt têtu. »

Il me dis avec un sourire que je lui rend.

« Très bien, je vous engage vous commencez ce soir. »

« Merci, Monsieur ! »

« Harry »

« Bien Elodie... »

« C'est Elo, tout le monde m'appelle Elo. »

«D'accord Elo, le salaire est de 70£ par mois comme indiqué dans l'annonce, les pourboires sont pour toi.
T'es horaires sont 10h/14h est 19h/1h et tu as tes dimanche est tes mercredi de libre. »

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