You are no longer alone

12. Préparation.

-Tu vas m'aider.

-Et comment je te pris ?

-On va devoir trouver des renseignements, et à cette soirée, il faut venir accompagner de son épouse, donc tu seras mon épouse pour la soirée. M'explique-t'il

-Pardon ?

-Tu es pardonné ne t'en fais pas.

-Mais je n'en ai pas envie ! Je m'exclame.

-Regarde mon visage, est-ce que j'ai l'air d'en avoir quelque chose à foutre ?

-Espèce de connard !

-Fait attention, je risquerai de te faire crier autre chose. Dit-il avec des paroles lourdes de sens.

Je le déteste.

-Une femme viendra prendre tes mesures, tu sais te défendre ? Me demande-t'il

-Oui, à peu près.

-Mh...

Je lève un sourcil, il sert à quoi son « Mh... » on ne comprend rien quand il parle.

-Bien. Il se lève. Tu vas te changer, met une tenue de sport et rejoins-moi dans la salle de sport. M'indique-t'il

-Et comment je fais pour savoir où est cette salle ? Je lui demande tout en secouant la tête alors qu'il se lève de sa chaise.

-Ce n'est pas bien compliqué, elle a la même porte que l'ancienne cave, tu dois la connaître non ? Il me le dit, tout en avançant vers la porte et en rigolant.

Je sers les points, connard...

Je m'avance vers la porte, je passe à côté de lui en lui lançant un mauvais œil.

-Salo... Je murmure dans ma barbe.

-J'espère que tu sais danser, il en faudra des pieds pour danser.

Je me dirige vers les escaliers et monte jusqu'à ma chambre, j'aimerais savoir de quelle mission, s' agit-il. Je n'ai pas que ça à faire.

Je rentre dans ma chambre juste en me préparant par la suite. Puis fini par redescendre, en tenue de sport. Je regarde partout où je pourrais trouver une porte qui a le même style de l'ancienne cave.

L'odeur nauséabonde me revient soudainement, j'ai failli vomir tant l'odeur était insupportable.

Je finis par trouver la porte qui avait le même style que l'ancienne cave. Je rentre, mais à peine rentré, je sens quelque chose passer à côté de moi, je décale ma tête par réflexe.

Le bruit sourd résonne dans mes oreilles, je regarde juste à côté de moi puis voit une munition plantée dans la porte.

Je retourne ma tête vers lui.

-Mais t'es malade ! Je lui crie.

-Non, simplement testeur.

-Simplement testeur- Je ramasse une balle que je trouve par terre juste avant de lui envoyer.

Il l'intercepte, en se décalant.

-Enfoiré ! Attend que je retourne à Chicago, le procès, je vais te le coller au cul, il va ressortir par tes trous de narine connard ! Je finis par lui crier.

-Eh, le jambon, on va se calmer.

-Le jambon, il dit à la cartouche d'aller se faire foutre.