Anime x reader

des envies de suicide.

fin de chapitre un perso apparaît, indice il vient de Bleach, et est trop sous côté.
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TW : violence psychologique, comme physique. Et je tiens à ajouter, si vous reconnaissez, venez me voir.

Pdv tpn :

Je tape du crayon contre mon cahier lorsque notre musique se met à résonner dans mes écouteurs. Le crayon tombe de mes doigts et ma main s'empresse de contenir un cri.

Tpn : Ôtez moi ça..

Dis-je m'apprêtant à changer de musique mais finalement je ne fait qu'augmenter le son m'évanouissant dans mes nombreux souvenirs.

C'est complexe ce sentiment d'aimer fortement, aimer jusqu'à en pleurer une personne qui n'est plus là. Caresse t'il les cheveux d'une autre ? Lui sourit il ? La rassure t'il ? À ces pensées je tire ma chevelure emplit de rage.

Tpn : Ça devait être moi !

J'essuie mes larmes, prête mon attention à ce bras défiguré par les lames, autrefois il en prenait soin. Il s'assurait à ce qu'avant chaque bêtise je lui en parle, aujourd'hui il est la raison pour laquelle c'en est devenu une addiction.

J'éclate en sanglots, aujourd'hui personne s'assure à ce que je ne me fasse aucun mal. Personne, plus personne n'est là. Les manches tombantes jusqu'à mes pouces mes parents ne voient pas cette détresse. Puis qu'en feront t'ils ?

J'arrête la musique et retourne sur nos conversations. Écouter le son de sa voix me détruit qu'un peu plus, et même après tout ces mois écoulés.

« Je suis partit. »

Mes membres se crispent.

« Je t'ai laissé derrière. »

Je le sais bien, et pourtant tout mon corps souhaite te revoir.

« J'espère que tu trouvera-

Je balance mon téléphone.

Tpn : ARRÊTE DE PARLER.

C'est lui et personne d'autre que je veux. Sans lui je ne suis rien ! Pourquoi ne le comprend t'il pas !? Je suis épuisée, mes yeux déshydratés, je suis épuisée.

Tpn : Qu'on m'achève..

Je regarde mon reflet dans le miroir.

Tpn : C'est tout ce que je demande. Si ma vie n'est pas avec lui.. qu'on me l'enlève.

Allez fais le ! Fais le ! Allez ! Tu te sentiras tellement mieux après.. Allez.

Je laisse tomber mon regard sur mon bras, je relève gentiment ma manche et voyant qu'il de manque place, hésitante, je fixe mes veines. Elles ont l'air si vulnérables exposés ainsi, d'un bleu qui vire au vert.

J'inspire profondément louchant quelque peu, les voix font échos encore et encore me poussant au désespoir. Je regarde une fois de plus mon visage qui fait peur dans la glace.

Tpn : Vas-tu le faire ?

J'hoche la tête les larmes pendouillantes.

Allez plante. Plante toi, jusqu'à en perdre la vie.

Seulement une autre voix se fait entendre.