➣ Découvre ces plumes !

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Heyaa !

Nous repartageons ici tous les textes publiés le 14 décembre☀️

Aujourd'hui, nous avons eu 4 textes, par de talentueux écrivains, bourrés d'imagination !

Les voici...

○ PAR BatoulyBatouly :

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PAR BatoulyBatouly :

« ❄️🎶🍸🌴❄️
À Bruxelles, le froid se répand.
Les gens se baladent dans leur doudoune.
Au Pérou le chaud se répand.
Moi, je me nage avec des poissons-clowns.

Après ma plongée,
Sur la plage allongée
Je bois ma bouteille.
Quelle merveille !

Le soleil nous a quittés
Mais je l'ai retrouvé.
Sur cette plage ensoleillée,
Je me sens réchauffée.

Le couché est d'une beauté...
Je ne peux me lasser de cette image.
J'enfile ma mini-jupe rayée...
Je m'en vais danser dans ce paysage.

Le lendemain, le bleu azur de l'eau
Est toujours grondant et beau.
Je ne rentrerais pas avant janvier,
Je vais profiter et passer ma nouvelle année.

Bonne chance cher pays enneigé
Moi, je reste dans ce pays ensoleillé.
❄️🎶🍸🌴❄️ »

PAR la_tombe :

« Jean-Paul avait de la bouteille. Oui, s'il n'y avait qu'une chose à retenir de toute cette histoire, c'est que Jean-Paul était profondément pochtron. Je crois avoir déjà mentionné le fait que l'heureux grand-père avalait ses médicaments avec du vin rouge, mais il serait vain (vin ?) de penser qu'il ne buvait qu'en cette occasion.
D'ailleurs, Jean-Paul détestait les bouteilles qui traînaient dans sa "cachette secrète" alors qu'il n'en restait qu'un fond. Et il s'empressait de vider lesdits fonds de bouteille.
Un soir, il tenta un marathon des "Mystérieuse Cités d'Or" avec Patrick. Le résultat ne fut pas très concluant, étant donné que l'enfant commença à ronfler alors qu'Esteban débarquait en Amérique du sud (soit au cinquième épisode sur un total de trente-neuf).
Une fois son petit-fils couché, Jean-Paul revint au salon, désœuvré.
L'opération du Saint-Esprit avait malencontreusement entrebâillé la porte du bar à liqueurs. Et il y avait une quantité phénoménale de bouteilles presque vides.
Presque presque.
Presque, je vous dis !
Un certain dicton proclame : « Verre plein, je te vide ; verre vide, je te plains. »
Bon. Jean-Paul avait un léger penchant sur la bouteille, et particulièrement sur les bouteilles presque vides. D'ailleurs, il préférait la moitié pleine, mais c'est un autre sujet.
Ce soir-là, Jean-Paul arrêta de boire quand il ne fut plus capable de porter le goulot à ses lèvres (ou ses lèvres au goulot, mais le débat n'est pas là).
Un léger penchant pour la bouteille, je vous dis. Léger.
Dans le jargon, on pourrait simplement ajouter que Jean-Paul "prenait une jupette". Mais je m'en tiendrai là...
Une chose est sûre : Jean-Paul fit de beaux rêves cette nuit-là.

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