Chapitre 8

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Je suis toujours immobile face à Tony, je n'ai pas décrocher un seul mot depuis qu'il m'as parler de ce qu'à dit son père. Je ne sais pas quoi dire à vrai dire, cela m'étonne comme cela ne m'étonne pas et je cherche aussi ce qui pousse Johnny a vouloir faire une chose pareille. Il n'ait même pas foutu de prendre des nouvelles de ses enfants et de ses petits enfants ! Une histoire d'argent me vient en tête en ressassant les paroles de Tony. Son père ne travaille plus et ne perçoit qu'une petite pension, il doit avoir du mal à vivre avec donc il demande à son fils de divorcer de moi pour qu'il est sa part. Johnny est tellement manipulateur qu'il serait capable de ne pas lâcher le morceau avec Tony mais je me suis jurer que le temps que je serais encore mariée à Tony, je ferais tout pour qu'il n'arrive pas à atteindre son objectif purement égoiste ! 

Célia : Pour l'argent, n'est-ce pas ? 

Tony : Tu connais mon père, ce n'est pas pour autre chose. Pardon, je ne veux pas exécuter sa demande, je t'aime beaucoup trop pour être capable de le faire. 

Son raisonnement me fait sourire et je ne peux m'empêcher de m'approcher pour me blottir contre lui. Sa rancune a totalement disparue et il passe ses bras autour de moi avec force. Ses lèvres viennent embrasser le haut de la tête pendant que je colle mon visage à son torse. Nous restons comme cela pendant quelques instants avant que je me recule légèrement et tends les lèvres vers lui. Il sourit avant de les attraper avec douceur et je lui dis entre deux baisers : 

Célia : Pourquoi tu ne me l'as pas dis plus tôt ? 

Tony : J'étais trop en colère... Excuse-moi bébé. 

Je souris pour lui signifiait que je le pardonne, ça va être une bataille de plus avec son pères mais nous avons l'habitude et je sais que l'on va rester soudés. 

Quelques temps après, j'ai appeler mon père pour lui dire que tout c'était arranger avec Tony et que l'on viendra chercher les enfants demain matin. Il m'as dit que cela ne lui poser aucun problème et qu'il était heureux de pouvoir garder ses petits enfants. Cela nous permet de rester tout les deux avec Tony et de prévoir une petite sortie pour demain avec les enfants. Ils vont être heureux lorsqu'on va les emmener. Nous passons une soirée inoubliable et une nuit des plus sensuelles avant que je ne m'endormes dans les bras de mon mari. 

Le lendemain, c'est mon jour de repos mais nous nous levons tôt pour pouvoir aller chercher les enfants chez mon père. Nous prenons la voiture de Tony pour l'occasion et quittons notre propriété. Je lui ai rien dis concernant l'arrivée inopinée de Jimmy, je ne vais pas tout faire foirer à cause de cela alors que l'on vient tout juste de sortir d'une dispute qui heureusement, n'était pas trop longue. 

Nous arrivons chez mon père, Tony serre chaleureusement la main   N    D mon père avant que les enfants ne se jettent sur lui, heureux de le voir. 

Zachary : Papa, papa, papi m'as autorisé à prendre le circuit de train ! 

Amber : Et moi, je peux prendre mon poupon ! 

Tony : Je vois que cette soirée chez papi vous a rendu joyeux. Maman et moi avons une surprise pour vous. 

Zachary : C'est quoi, c'est quoi ? 

Amber : Allez, dis-le nous papa ! 

Tony : Ce ne serait plus une surprise si je vous le dis. 

Les enfants se renfrognent un peu et cela me fais rire alors que me tourne vers mon père avec un large sourire. Tony se relève et demande aux enfants d'aller dans la voiture avant de parler à mon père : 

Tony : Merci Luke, cela n'a pas été facile avec mon frère... Je m'excuse de m'en être pris à votre fille. 

Luke : Du moment que cela ne touche pas les enfants et que ce ne soit pas trop grave et que vous régler votre problème, cela me va. Allez, filez, il me semble que vous avez une surprise à faire aux enfants. 

Un fantasme inavouableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant