3- Cheveux

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A ce moment la j'ai compris, que jamais je ne pourrais vivre une adolescence normale. J'étais condamné a vivre une vie ardu. Et c'est ça qui le faisait peur. Ma différence avec les autres. En plus d'en être différents je les enviaient tellement ces autres! J'aurai voulu, encore aujourd'hui avoir appris à aimer convenablement...

Alors je répondit à Grand Mère que je n'avais pas d'excuse pour ma mauvaise conduite, et que je prendrais toutes les sanctions que la famille voudra, pour expier mes pêchers. Alors comme si la sanction avez déjà été décider avant mon arrivée, je fût priver de sortie pendant près de trois mois et je dût exécuter des tâches ménagères qui normalement étaient exaucés par les domestiques.

Le soir, a l'heure du dîner ma mère brisa le silence pour me blâmer, moi et mes amis. Encore,  pour changer.
-Fille, tout ca ne serait pas arrivé si tu respectait un minimum nos consigne, c'est a cause de ton ami bizarre la, Emrick, Ludovick ou je sais pas quoi. Arrête de trainer avec lui ou elle, ca vaudrait mieux. Pourquoi n'est-tu pas comme ton frère? Eux ils ont compris. Tout ca nous le faisons pour ton bien, Alex.- Qu'elle disait.

Comment pouvait elle prétendre être ma mère,  elle ne connaissait meme pas mon prénom... J'imagine elle a sûrement oublié l'existence de son premier fils. Elle ne m'a en réalité jamais vraiment aimé, mon père ne m'aime peut-être pas non plus mais au moins il se souvenait de mon prénom. Mon père était sévère, mais c'est un homme droit, lui il s'en foutait de ça. Il avait d'autre chose a géré et j'en suis heureux, une source de pression en moins.

Il s'interrompt quelques secondes pour souffler a ma mère mon ancien prénom. Elle me regarda en haussant les épaules et retourna a son repas.
Mon père me fit signe de sortir de table, j'était partit aussi vite que mon ombre. C'est ce soir la ou je me suis enfermé pour commettre le point de non retour.

Je m'était assis devant ma coiffeuse, j'observai dans le calme ce visage qui était le mien. J'ai la forme du visage bien dessiner, pareil a mon père, j'avais les cheveux blond mi long, des cheveux droits. Ils étaient magnifiques. Éric m'appelait "Boucle d'or sans boucles" car j'était une tête blonde, que je mangeais pour quinze et que j'hibernait comme un ours. Je me souviens avoir pris dans le tiroir de gauche ma paire de ciseau. J'avais l'esprit vague ce jour là, pourtant pris d'une rage sortie de nulle part d'un CLAP, cheveux court. Sur mes genoux se trouvaient une bonne partie de mes cheveux. Dans le miroir je voyais quelqu'un, une personne nouvelle, moi.

Je pris les vêtements de ma garde robes et les déchiqueta a coups de ciseaux un par un, et je peignis dessus des motifs et tandis que d'autre je passa une bombe de peinture noir dessus. J'avais décidé de changer de style entièrement. "Un changement radical s'impose dorénavant" m'étais-je dit.

Dans le miroir j'admirai, le nouveau moi, le moi rebelle, l'humain demi-boy que rien ni personne ne peut arrêter. Victor.

Victor (TERMINÉ)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant