Sous la fenêtre s'élève le parfum de la forêt
Au loin, le cri d'une renarde affamée
Me rappelle d'avoir peur
Et dans la nuit sans lune j'écoute
Le bruit de tes pas
De tes pas, paranoïa
Ton esprit tremble, mes jambes aussi
Et tes yeux gonflent comme un orage
Se cacher et attendre que le ciel craque
Sous l'averse devenir fougue et courage
Après la terreur, mon ire tonnera
Bien plus fort que tes cris, paranoïa
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Désécriture
ŞiirUn peu de poésie et d'autres choses, écrites puis désécrites pour s'amuser et ne pas se pleurer dessus.