Chapitre 18

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Le réveillon c'était fini dans la bonne humeur, et sans acros

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Le réveillon c'était fini dans la bonne humeur, et sans acros. La plupart des personnes étant aptes à conduire étaient rentrées chez elles à la fin de la soirée. Et les autres étaient restées dormir chez Satoru.

Dans la soirée, le sujet habituel des résolutions était arrivé dans les conversations, et chacun y était allé de bon train pour énoncer ses bonnes actions pour la nouvelle année. Azzuria avait fait le choix de révéler sa décision récente comme une résolution.

- Je veux rencontrer ma véritable famille.

Tout le monde l'avait applaudit énergiquement, comme pour dire un "enfin" silencieux et commun.

Alors le lendemain était venu. Elle avait eu le courage d'annoncer à Satoru qu'ils partiraient le 2 janvier à la rencontre de sa famille.

Gilbert avait envoyé l'adresse à sa sœur, en lui indiquant qu'il ne l'accompagnerai pas, pour être certain de la présence de ses paternels. Elle ferai donc le voyage seul, avec le plus grand des exorcistes, qui avait accepté de l'accompagner.

Ils s'étaient donné rendez-vous à la gare, pour prendre le train ensemble. Aujourd'hui, le blanc était à l'heure. Et le duo pouvait embarqué sans problème, en route pour une région campagnarde loin de Tokyo.

Dans une ambiance tendu, l'homme tentait d'alléger la pression. Pour cela, il faisait ce qu'il savait faire : des blagues.

- Regarde, un faucon !

La femme se redressa, jetant un coup d'œil à la fenêtre.

- Moi j'en vois un vrai con. Y a pas un seul oiseau.

Cette réaction fait rire l'homme plus que cela ne devrait. Il adore taquiner la femme à côté de lui, les réactions sur son visage sont toujours radieuses et la rendent encore plus belle.

- Si, faut qu'on organise notre arrivé.

Azzuria afficha un regard désespéré en direction du blanc. Elle ne savait plus quoi faire de lui et ses blagues qui ne faisaient rire personne d'autre que lui.

Il avait revêtu ses lunettes pour ne pas attirer l'attention dans le train et ne pas faire mauvaise impression devant la famille de la femme. Il savait que croiser quelqu'un avec des bandages sur les yeux n'était pas commun. Mais malgré cette attention, il gardait toujours la même attitude.

- Qu'est-ce que tu veux organiser exactement ? Demanda la femme après un soupir.

- Je sais pas, tu sais ce que tu vas leurs dire ?

L'homme touchait à un véritable sujet. En effet, la femme n'avait pas réfléchi à ce qu'elle ferait une fois devant ses géniteurs. Elle s'imaginait sûrement que les mots viendraient par eu même.

La voyant réfléchir longuement, Satoru repris la parole :

- Je serait là si tu perds les mots, ou s'il se passe quoi que ce soit d'autre, annonça-t-il d'une voix forte et imbu de lui même.

[𝕊𝕠𝕦𝕧𝕖𝕟𝕚𝕣𝕤 𝕕'𝕦𝕟𝕖 𝕍𝕚𝕖] Satoru Gojo x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant