[𝕊𝕠𝕦𝕧𝕖𝕟𝕚𝕣𝕤 𝕕'𝕦𝕟𝕖 𝕍𝕚𝕖] Satoru Gojo x Reader

Chapitre 25

Ce chapitre contient des scènes à caractère sexuel. Si vous voulez sauter ce passage, il sera entouré par l'emogi🍋.
Je vous rappelle que je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisez.

- J'ai envie de toi.

Une telle affirmation fit frissonner Satoru. Ils s'étreignaient naïvement, et lui ne pensait pas que ce simple touché pouvait faire tant d'effets à sa copine.

Il se redressa alors, et mit sa paume de main sur le front de la femme.

- Tu vas bien ? demanda-t-il, inquiet.

Il l'aimait de tout son cœur, et ne voulait pas qu'elle regrette un seul instant à ses côtés. Alors, pour ne pas la brusquer, il voulait être certain que rien ne clochait.

Elle le regardait, son regard était rempli d'appétit, et ça ne plaisait pas à l'homme. Il n'arrivait plus à percevoir l'amour qu'il avait découvert.

- Je vais mieux que jamais.

Elle lui sauta dessus, ses lèvres s'enfuirent dans son cou, et elle commença et parcourir son corps.

Il n'aimait pas sa façon d'agir. Elle n'était pas elle-même, alors bien que ces suçons  devraient le satisfaire en temps normal, maintenant il était juste mal à l'aise. C'est pour cette raison, qu'il la repoussa. Il alla jusqu'à activer son infini pour éviter de lui faire du mal. C'était une protection qu'il jugeait nécessaire.

- Tu n'es pas (T/P).

En la repoussant, elle percuta la table basse. Là, elle reprit ses esprits. Elle n'était pas consciente de ce qu'elle faisait il y a quelques instants.

- Qu'est... Qu'est ce qui c'est passé.

Elle avait un mal de crâne affreux, et un terrible trou noir.

Satoru n'était même plus sûr de savoir à qui il parlait. Il s'en voulait de devoir en arriver à une méthode si lâche.

- Prouve moi que tu es toi.

Il se trouvait stupide de demander ça. Mais même en étant le meilleur des exorcistes, il n'avait aucun moyen de savoir si c'était bien elle.

La femme voyait bien que quelque chose n'allait pas. C'était sans aucun doute la cause de son affreux mal de crâne et sa légère perte de mémoire. Alors pour le rassurer, elle ne posa pas de questions, et raconta une anecdote que seul elle connaissait.

- Le jour où j'ai pour la première fois utilisé des poignards, je voulais tellement être utile que je suis allée m'entraîner dans la forêt. Puis tu es arrivé et j'avais peur de ta puissance, ensuite tu m'as...