Chapitre 19

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- Je vous interdit de lever la main sur elle

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- Je vous interdit de lever la main sur elle.

Satoru n'avait pas pû attendre plus longtemps. Il ne supportait pas de voir Azzuria se faire insulter, et encore moins de se faire frapper.

Il s'était alors introduit dans la salle, et l'avait rejoint pour vérifier son état. Il l'avait fermemant agrippé pour la taille, et de son autre main, il frottait sa joue rougit par la clac de son père.

- Ça va princesse ?

Il ne détachait pas ses yeux d'elle, peu importe la présence de sa famille et d'un autre imbécile qui voulait se marier et enfanter une femme sans son consentement.

- Qui êtes vous ? Demanda l'autre femme dans la pièce.

Le blanc ne répondit pas tout de suite. Pris de colère, il se raccrocha à la seul personne qui pouvait l'appaiser.

Elle de son côté, attrapa les habits de l'homme, comme pour lui demander silencieusement de ne pas la laisser.

- Si, j'ai bien compris, commença à répondre Satoru. Pour vous, votre fille doit obéir à vous, ou à son fiancé.

D'un petit hochement de tête, toute la famille acquiesça. Alors, avec un sourire l'homme continua ses propos :

- Et bien figurez-vous que nous nous sommes promis l'un à l'autre.

Un silence s'abattit dans la salle. Tout le monde était surpris, même la principale intéressée. Elle leva la tête vers le blanc, il ne l'a regardait plus. Il s'amusait à contempler son auditoire, muet.

- Satoru... L'appela toujours timidement la femme.

Son appel ramène le regard du blanc dans celui de la femme. Elle l'apaise, et le fait de ce perdre dans la contemplation de cet être, qu'il a envie de mieux connaître encore. Un rire les coupe dans leur duel de regard.

- Et vous croyez m'avoir avec un mensonge si grotesque !? S'insurge le père. Qui pourrait aimer une femme aillant des visions démoniaque et qui apporte le malheur autour d'elle ?

Sans hésiter, Satoru relâche sa prise, et s'avance en direction de l'homme. Il se place juste en face de lui, et le jaugeant de son mètre quatre-vingt-dix, répond le plus calmement possible.

- Moi.

Il place un doigt sur le torse du père en face de lui.

- J'aime quand elle rit, j'aime quand je la gêne, j'aime son visage, j'aime quand elle est prêt de moi, énumère-t-il, tout en enfonçant son doigt plus profondément contre la peau de l'homme. Alors si vous n'aimez pas les qualités de votre propre fille, tant pis pour vous. Mais sachez que vous loupez un tas de choses.

Il se retourne et agrippe Azzuria par le bras. Ils se dirigent ensemble vers la porte. Mais à ce moment, la voix de lamentation de sa mère la supplie.

[𝕊𝕠𝕦𝕧𝕖𝕟𝕚𝕣𝕤 𝕕'𝕦𝕟𝕖 𝕍𝕚𝕖] Satoru Gojo x ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant