A Travers Le Temps. Tome 6. L'Âge de Rome.

Chapitre 29 (!)

Je suis dans mes appartements, complètement sous le choc de ce qui s'est passé et en larmes. Je sursaute subitement, lorsque j'entends des bruits de pas s'approcher de moi. Je relève la tête, avant de remarquer que cette personne n'est autre que Caïus. Je me lève subitement, toujours en larmes, tout en essayant de les essuyer.

En quoi puis-je vous aider, Empereur... Dis-je d'une voix tremblante.

Celui-ci s'approche de moi, avant de placer ses mains sur mes joues avec tendresse.

Pourquoi ne m'avoir rien dit ?... Me demanda celui-ci d'une voix douce.

Une immense crise de larmes apparaît, c'est impossible pour moi d'arrêter.

J'avais honte de moi... Dis-je soudainement. Je m'en veux de n'avoir rien fait, de ne pas avoir été plus forte... Je me suis sentie faible, médiocre et pitoyable... Lui expliquai-je. Il m'ont torturé de toutes les manières. Ils m'ont violés, battus, humiliés, puis vos sœurs m'ont ferré, pour me rappeler que je n'étais qu'un simple objet qu'on pouvait jeter...

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase, que Caïus m'embrasse passionnément, sa langue caressant la mienne, quant à ses mains, celle-ci me caresse avec tendresse mes joues, puis mon cou, mes épaules, avant de finir leur chemin par mes bras.

Je vous interdis de me dire que vous êtes une femme médiocre, pitoyable et faible. Dit Caïus d'une voix rassurante et douce. Vous êtes au contraire la femme la plus courageuse, la plus incroyable et la plus magnifique que je connaisse... Lorsque mon oncle m'a avoué ce que vous avez vécu à cause de mes sœurs, j'étais brisé et désespéré. Continua-t-il, tout en embrassant mes lèvres plus de douceur.

Je ferme les yeux, pour pouvoir profiter une nouvelle fois de cette magnifique sensation, mais lorsque ses mains sont sur le point de toucher ma poitrine, j'essaie à tout de m'éloigner.

Je vous en prie, non... Suppliais-je d'une voix tremblante.

Je veux les voir... Dit soudainement l'Empereur.

Je fis non de la tête, beaucoup trop honteuse de mes brûlures.

C'est horrible... Dis-je tremblante. Mon corps à été souillé et...

Je vous interdis de dire cela, Julia... Répondit Caïus. Vous serais toujours la femme la plus belle, malgré vos cicatrices que vous avez sur votre corps.

Vous mentez... Dis-je en larmes.

Je vous assure que je ne vous mens pas, Julia. Répondit Caïus d'une voix douce. Laissez-moi vous voir entièrement...

Je réfléchis quelques instants, avant de retirer les bretelles ce qui permit à ma robe de tomber sur le sol. Je décide de le regarder droit dans les yeux et de lui faire confiance. Caïus s'éloigne un peu et vis enfin mes deux brûlures ferrées par ses sœurs, Agrippine et Drusilla. Une brûlure sur le haut de mon sein et la seconde sur le bas de mon ventre. Une fois de plus, la honte me ronge, je suis sur le point de cacher mes seins et mon intimité, mais je n'ai pas le temps de réagir que Caïus se précipite sur moi, avant de m'embrasser passionnément. 

Sa langue caresse la mienne, ses lèvres glissent dans mon cou et l'une de ses mains prend mon sein gauche, avant de le masser avec douceur. Ma tête part en arrière, pour que Caïus ait plus d'accès à mon cou, mais il décide autrement en décidant de glisser ses lèvres sur mon autre sein et de le suçoter avec vigueur. De nombreux gémissements franchissent mes lèvres, mes mains quant à elles se glissent dans ses cheveux, pour qu'il ne puisse pas se séparer de moi.

Quelques secondes seulement plus tard, Caïus se redresse pour m'embrasser avec passion, tandis que ses mains se placent sous mes fesses, avant de me soulever, tandis que mes jambes encercle sa taille avec souplesse. Il m'allonge sur le lit, avant qu'il ne se sépare de moi et plonge une fois de plus ses lèvres contre ma poitrine.

Ouvrez-vous à moi... Dit Caïus d'une voix empli de désir.

Je fais ce qu'il me demande, j'ouvre mes cuisses et celui-ci en profite pour plonger sa tête entre mes cuisses, avant de sentir sa langue contre mon clitoris. Mes gémissements se transforment en cris de plaisir, je sens mon orgasme arrivé rapidement, mais Caïus ne veut pas s'arrêter, au contraire, il décide de lécher et d'aspirer mon clitoris.

Je vais jouir... Dis-je suppliante.

Je sens son sourire contre mon sexe, mais continu tout de même, sentant mon orgasme exploser, j'attrape les mains de l'Empereur et cri en m'explosant mes cordes vocals. Continue de goûter mon plaisir, tandis que mon corps est empli de spasmes. Il s'éloigne de moi; tout en souriant, fière de mon orgasme. Je veux me redresser pour l'embrasser, mais il m'oblige à rester allongé.

Je vous veux en moi... Le suppliais-je.

Caïus sourit, avant de me répondre d'une voix emplie de luxure.

Pas aujourd'hui, mon amour. Ce soir, je me concentrerais uniquement sur votre plaisir et même vos supplications ne vont pas m'arrêter... Dit-il, avant de plonger une fois de plus son visage entre mes cuisses, de me dévorer une seconde fois mon sexe, tout en rajoutant ses doigts.