Notre secret 🔞[Non Fini, Non Corrigé]

15 - La vengeance

[Mégane]

Quel soulagement, encore une fois, je gagne face à Léna. Elle mérite tout ça, après tout c'est à cause d'elle que mon père nous a abandonnés ma mère et moi.
Enfin, à cause de son père surtout Mais si je la fais souffrir, je le fais souffrir aussi !

Une fois Léna partie, je marche un peu sur le parking dans l'espoir de voir monsieur Tuner.

BINGO, le voici qui sort du bâtiment en courant, pour rejoindre sa voiture. Je m'empresse de monter dans la mienne et le suivre en retrait.
Au bout de quelques minutes, il se gare dans l'allée d'une magnifique maison qui semble neuve. Je stationne la mini sur le trottoir, coupe le moteur et attend un peu en baissant la vitre. Je ne veux pas qu'il sache que je le suivait.

Il sort de sa voiture en sifflotant, c'est un joli air. Il rentre chez lui, je continue d'attendre un peu.
Mon plan B est en action. Je dois aller chez lui, le consoler, le séduire, coucher avec lui et envoyer une photo de nos corps à Léna. La chute va être terrible !

Je sort de la voiture et avance dans le jardin. Le portail est resté ouvert. Pas de polo en vu. Elle a bien retenue la leçon !

J'avance à la porte d'entrée ou je toc timidement - Pas de réponses. A l'intérieur, la musique est tellement forte pour qu'il m'entende. Il faut que je trouve un autre moyen de le voir.
Je réfléchie un instant. Il faut que je trouve une autre entrée.

Je longe les garages et suit l'allée en gravier sur la gauche de la maison. Je tombe sur un portail que je tente d'ouvrir en vain - Fermé !

Je fais demi-tour, repasse devant les garages et décide de suivre les gravier à droite de la bâtisse cette fois-ci. Une première fenêtre s'offre à moi. Elle est fermée et opaque. Sûrement une chambre où une salle de bain. Je continue sur la deuxième fenêtre : Une chambre.

Je m'imagine déjà dans les bras de Monsieur Tuner, allongés sur le lit, les draps encore tremblant de nos ébats. Je frissonne rien qu'à cette idée. Si il est aussi bien bâtit que ce qu'il dégage, ça mérite d'être explosif. Je me demande bien ce qu'il a trouver à Léna. Sa m'écorche de dire qu'elle est jolie mais c'est la vérité. Je le suis encore plus !

Je soupire, me redresse avec assurance et continue à marcher jusqu'à l'arrière de la maison, la troisième et quatrième fenêtres ayant des rideaux occultants.

Je tombe sur une baie vitrée. De la où je suis, j'aperçois une cuisine. Je m'avance en longeant les buissons. Il n'y a aucun mouvements pour l'instant. Je continue mon chemin prudemment, cacher dans les feuillages.

Je vois le bout d'un canapé, m'avance et vois Monsieur Tuner assis sur celui-ci, torse nu, la tête en arrière et sur lui, une fille au dessus de lui - Et bien, tu n'as pas perdu de temps Tuner et quel corps magnifiquement sculpté - Je souris en coin en me mordillant les lèvres.
Ce sera tellement facile, j'ai juste à prendre une photo et BIM, la descente aux enfer pour Léna mais ce n'est pas assez voyant. On ne voit même pas leurs ébats, un plaid recouvre la jeune femme depuis ses épaules.

Il faudrait que la couverture glisse, qu'on voit un peu de spectacle pour la photo

Comme si le diable m'avait écouté, le tissu fini par descendre en bas de ses reins. J'écarquille les yeux au moment où mon téléphone prend la photo.

Ce tatouage, je le reconnaitrais entre milles !

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[Léna]

Le réveil sonne 6h30. Je me tourne dans le lit et me blottie contre Adrien. Il me serre dans ses bras et me couvre de baisers.