CHAPITRE 8

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Voici le 8ème chapitre de notre saison alternative personnelle de Balthazar...J'espère que cela vous plaira... J'ai introduit quelques sujets dont nous aurons besoin pour les développements futurs...

Qu'en pensez-vous? Aimez-vous la façon dont l'histoire se déroule?

J'attends vos commentaires...Bonne lecture!!

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B: « Bonsoir Marc»

Balthazar salua le jeune agent qui montait la garde à la porte de son immeuble.

B : « Le capitaine Costes te fait faire des heures supplémentaires, hein ? »

M : «Bonsoir Docteur Balthazar. Oui... mais ce n'est pas un problème, au contraire, c'est mieux comme ça... Je dois arrondir un peu mon salaire pour... pour... »

Le jeune policier se mit à bégayer et jeta un regard hébété à Hélène qui, entre-temps, était descendue de la voiture de Balthazar et s'approchait de la porte.

Ou plutôt... le regard hébété était dirigé vers ses longues jambes, maintenant presque entièrement visibles à cause de la fente vertigineux qui s'était créé dans la robe et que, malgré des tentatives répétées, elle n'avait pu réparer.

B : «Marc... si tu veux vraiment garder ton travail, je te conseille vivement de garder les yeux fixés sur la route »- le gronda sèchement Balthazar.

M : « Oui docteur, bien sûr docteur. Excusez-moi docteur»- balbutia le jeune homme, rouge comme le poivron.

Puis Balthazar se tourna vers Hélène, qui continuait à tripoter son téléphone portable, béatement inconsciente du bouleversements qu'elle provoquait chez le jeune agent... et pas seulement cela.....

Balthazar roula des yeux, enleva sa veste et la passa autour des épaules d'Hélène. Alors seulement, elle daigna lui accorder son attention.

H : « Merci, mais.... Je n'ai pas froid»- dit-elle en le regardant d'un air interrogateur.

B : « Ce n'est pas pour le froid. C'est pour éviter d'avoir à faire de la réanimation cardiaque à tous nos agents d'escorte »- répondit-il en montrant la robe et en détournant aussitôt le regard.

Hélène regarda la fente de la robe, seulement partiellement couverte par la veste de Balthazar, et rougit.

H : « Eh bien, tout cela est de votre faute... » - lui rappela-t-elle, en essayant de cacher ses jambes... et sa gêne.

B: «Comme toujours»- Balthazar complète pour elle, en lui souriant.

Ils ont également été rejoints par le deuxième agent de l'équipe, qui était chargé de contrôler l'intérieur du bâtiment.

A1: « Eh bien, docteur, j'ai vérifié les escaliers et l'entrée et tout semble être en ordre.. Nous attendons le feu vert du collègue qui effectue les contrôles à l'intérieur de votre appartement»

Hélène lança un regard surpris à Balthazar.

H : « Le capitaine Costes prend vraiment très au sérieux la question de l'escorte de protection. »

B : « Oui», confirme-t-il, sérieusement.

Helene l'a regardé attentivement.

H : « Et vous n'avez jamais objecté à cela ? »

B : « Avez-vous déjà essayé de discuter avec Camille alors que vous étiez menotté à un radiateur? »

H : « Elle vous a menotté à un radiateur ? »

JE PENSE A TOI TOUT LE TEMPSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant