~Todobakudeku~ Pour la première fois, je t'aime.

Chapitre 19: Je vous aime.

PDV SHOTO

Après cette dure journée, oui je sais faire du sarcasme. Nous allions nous coucher, presque nus. Vêtu seulement d'un bas de pyjama. En fin de journée la température avait grimper d'un coup d'une chaleur lourde, sans doute du à un éventuel orage. Mais peu importe ce qu'il en était, nous avions atrocement chaud. Et les fenêtres ouvertes n'arrangeaient pas notre situation. Allongés dans nos lits bordés par le noir de la nuit, nous ne voyions que des ombres se dessiner sur nos peau, qui avaient encore l'odeur de la mer.

-Shoto, tu peux me donner le verre d'eau steuplé ?

-Ouais, tiens.

Je donna à Bakugo son verre, il était en sueur. Son alter ne l'aidait pas mais avec le mien je gelais l'eau qu'ils buvaient ensuite, ça leur faisait du bien.

Sous la demande de Bakugo lui et Izuku avaient échangés leurs lits, ainsi notre oméga se retrouvait pris en sandwich par nous deux. J'aurais aimé profiter un peu plus de cette atmosphère mais la mauvaise humeur et la chaleurs nous empêchaient toutes distraction coquine.

-Ahhhh j'en peux plus j'ai trop chauuud ! Cria Bakugo

-Ne parles pas aussi fort Monsieur Aizawa risquerait de t'entendre. Lui répondit Izuku

-Tu veux que j'essaye quelque chose? Je lui demanda

Il acquiesça, certainement par dépit. Les goutes qui perlaient sur son front ne s'arrêtaient plus de grandir. Son visage ressemblait de plus en plus à un cadavre. Je gela ma main et la passa sur son corps, puis la passa sur son ensemble. Oui. Partout. Vraiment partout.

-MAIS T'ES PAS BIEN T'AS FAILLIT ME GELER LA BITE !

-C'est froid hein.

-Putain le cochon ! Il est sacrément pratique ton alter...

-Oui c'est vrai, mais j'ai simplement pensé que dans ton cas tu aurais bien besoin de recouvrer tes esprits.

-Pourquoi tu me dis ça alors que toi aussi tu bandes ?!

Il le voit ? Je ne pensais pas être aussi peu discret.

-Moi aussi je bande.

-.....

Heu d'accord. Comment sommes nous censé réagir à cette information Izuku ?

Bakugo semblait plus inspiré que moi sur ce point.

! Lemon !

Il se plaça en face de lui et l'allongea sous son corps de façon à le dominait, il se mit à l'embrasser des parts et d'autres de son torse, en descendant lentement vers son bas ventre, puis doucement enleva son jogging. Je veux le faire aussi, je pensa.

Je m'approcha alors d'Izuku et me mit à sucer son cou, laissant des marques violettes à mon passage. Le pauvre était pris au piège entre deux alphas qui n'allaient certainement pas le laisser se sauver facilement. Ce n'était pas son intention vu la courbure que prenait son dos et le son si agréable de sa voix qui se teintait de jouissements qu'il tentait d'enfouir

J'enleva à mon tour mon jogging et descendit par la même occasion le short de Bakugo qui était lui en train de retirer le caleçon d'Izuku. Mais il se stoppa net.

-Tu ne veux pas qu'on te voit nu ? Lui demanda Bakugo

Certainement au vu d'une réaction de sa part que Bakugo aurait relevé.

-J'ai peur. Nous dit il

-On arrêtera quand tu voudras Izuku. Je lui dis alors pour le rassurer.

Bakugo me regarda stupéfait. Je sais, nous savons tous les deux, si nous commencions jamais nous ne pourrions nous arrêter. Mais c'était ça ou manquer l'occasion d'un moment inoubliable. Nous ferions alors en sorte d'arriver à l'extase sans qu'Izuku n'est à se forcer.

Bakugo enlevât le caleçon d'Izuku laissant à notre vue ce qui nous prouvait que tout ceci était l'uvre d'un plaisir refoulé depuis bien trop longtemps. Il la pris entièrement dans sa bouche accentuant son acte en agitant de sa main le début de sa verge. Izuku en tremblait déjà, je le voulait aussi, je voulais qu'il me suce comme je l'avait tant imaginé les nuits où me retrouvant seul, j'aurai tant aimées qu'ils restent dormir avec moi. Bakugo releva la tête et arrêta son acte voulant certainement garder pour plus tard "l'explosion des sens" comme j'aimais l'appeler.

Je m'approcha de Bakugo, l'enlaça un instant, et comme nos mains étaient trop baladeuses, nos sous vêtements vinrent à leur tour à tomber sous le regard subjugué d'Izuku. L'une contre l'autre nos verges s'agitaient, se pressant, s'arrachant des soupires. Nos langues elles, se partageaient nos salives jouant ensemble au même rythme que nos sexes. Izuku se leva et vint vers nous, il prit en bouche mon sexe, le lécha, l'agita. C'était si bon, si merveilleux. Il prit ensuite celui de Bakugo, mais le spectacle était tout aussi merveilleux à voir qu'à ressentir. Comment se lasser d'un tel spectacle ? Jamais mes yeux n'oublieront cette image, jamais mon cur n'oubliera non plus comme il battait vite à cet instant.

On finit par se frotter l'un contre l'autre, faisant aller nos mains de corps en corps. Nous jouissions ensemble dans un même râle, se déversant sur nos corps. Jamais plus nous n'oublierions cette scène. Jamais plus après cela je voudrais me laver. Même si c'était sale, j'aimais cette sensation. Chacun avait gardait un peu des cellules des autres. Même si nous mourions, nous subsisterions dans l'autre. Et c'était exactement ce à quoi notre amour me faisait penser. Nous nous couchions ensuite, allongés en petites cuillère, nous glissant des mots doux d'amour.

-Je vous aime. Je dis.

Je sais que cette phrase est insignifiante à dire mais au moment où elle s'immisçait dans mon âme je ne pu la retenir. Je ne regrette pas. Peut être demain regretterais- je d'avoir était aussi sincère, mais pour le moment j'espère simplement que cette phrase leur a autant fait chaud au cur qu'à moi.

Ils se turent un instant avant de se tourner vers moi et de m'embrasser chacun leur tour puis de me regarder comme j'aurai tant aimé être regardé dans ma vie : pouvoir voir en regard qu'on est aimé.

-Je vous aime. Répétèrent- ils.

C'était devenu notre façon de nous rappeler que tout ceci était bien réelle.

Un " Je vous aime " pour la vie. Voilà ce que je voulait.

S'endormant dans la position que nous avions prise, je rêvais secrètement pouvoir revivre ça, ce que nous venions de faire. De nous revoir ainsi, nu, aussi bien physiquement que mentalement. J'espérai que demain soit encore une de ces journées où rien ne compte plus que l'autre. Je n'aurai jamais pu m'attendre à ce qui allait arriver.

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Oui, je sais, enfin. Les prochaines scènes seront peut être plus poussées mais pour l'instant il vous faudra vous contenter de ceci.

Bonne soirée/jour/nuit.

Ne mourrez pas avant vendredi, prochain chapitre !