« Pardonne moi
Pardonne moi de n'avoir pas su
Préserver la chance d'être deux
Amoureux en quête de l'absolu
 que mon coeur est douloureux
Au loin de toi vit ma souffrance
Fidèle fardeau lié à nos vœux
Je suis porteur de cette a...
J'éteignais le réveil rapidement avant d'aller me débarbouiller. Aujourd'hui, je faisais un petit peu d'effort vestiaire, j'allais quand même dans un quartier de riche.
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Je remonte quand même un peu le pantalon parce que mon bidou essaye de s'échapper là.
***
J'attendais patiemment le train qui était en retard de 15 minutes. À peine rentrer dans celui-ci, une odeur nauséeuse en sortie. C'était un cracked qui était entrain de se piquer dans le fond du train. Je le regardais discrètement en me bouchant le nez. J'ai vraiment pas de chance nous étions 4 dans le wagon.
- Eh toi, la salope ! Criait-il à haute voix.
Je tournais la tête pour voir de qui il parlait. Quand je l'ai vu me pointer du doigt.
- Tu baises pour combien ? Dit-il souriant avec ses dents manquantes.
Je vais le frapper, j'ai l'air de montrer mon cul.
- Répète le zombie ? Lui demandais-je de façon provocante.
- Parle moi correctement, tu n'es pas même bonne, dit-il de façon peu compréhensible.
- En anglais, ça donne quoi ? Dis-je sur un ton condescendant.
( N/A : Je dis « en anglais » vu que l'histoire se passe à New-York )
Je savais que mon répondant m'avait mis dans la merde. Il s'était levé et avait sorti une lame de son pantalon. Je descendais dans un arrêt, soit je me faisais planter soit je touche du bois et j'arrive à descendre au prochaine arrêt. Alors là fallait que je prie Dieu pour arriver en vie.
- Alors, toi parle plus ? Dit-il complétement défoncé.
Je pense que sa piqûre fait effet, Seigneur merci. Il avançait difficilement vers moi, jusqu'au moment où la porte du train s'ouvre sur mon arrêt. Je courus comme jamais, et sortie de la bouche de métro à bout de souffle. Putain c'était vraiment la meilleure chose de la journée, je riais, tellement j'avais aimée cette adrénaline.
***
J'arrivais devant le portail me séparant de ce quartier de riche. Je tapais la porte de la cabine du gardien.
