Un Milliardaire Pas Comme Les Autres

Chapitre 14

Ce soir, je me suis faite coquette pour sortir prendre un verre avec Audren. Ce n'est rien de très sérieux je vous rassure. Il m'a invité il y a de cela quelques jours et j'ai accepté d'aller prendre un verre avec lui en même temps j'en ai bien besoin. Nous avons échangé par téléphone et c'est une personne vraiment agréable ça je peux l'admettre, en arrivant sur place je m'installe à une table et ce dernier arrive cinq minutes après. Il est vêtu d'un jeans et d'une chemise.

— Bonsoir comment vas-tu ? J'espère ne pas avoir été trop en retard ? me demande-t-il en prenant place.

— Je vais bien merci et non ne t'inquiète pas je viens d'arriver ça fait à peine cinq minutes.

— D'accord, en fait c'est le travail qui m'a retenu franchement ce n'est pas facile d'être un agent immobilier.

— Donc tu es un agent immobilier ?

— Oui, je ne vais pas te déranger avec ça, nous sommes là pour nous détendre après tout.

Je me contente d'esquisser un sourire.

—Alors que ce désir tu bois ?

Je consulte la carte et ses différents cocktails.

— Et bien je vais prendre un Bellini et toi ?

— Moi, je vais prendre Amaretto Sour. Me dit-il après avoir feuilleté le menu.

— Très bien.

Il fait signe au serveur et ce dernier se dirige vers nous, Audren se charge de donner nos commandes. Nous nous remettons à discuter de tout et de rien, il semble bien élevé et intellectuel. J'apprends à le connaître d'après ce que j'ai compris, ce dernier est ici en Italie pour 8 mois. Puis il retourne à Paris, il est ici parce que son agence immobilière à ouvert une branche ici et qui l'ont chargé de s'occuper de son bon fonctionnement ici.

Les verres se sont enchaînés les uns après les autres autour de discussion totalement agréable, je vous assure je n' ai pas bu tout un casier encore moi toute une bouteille entière. J'ai juste pris quatre verres et je me suis arrêté là, nous avons discuté de divers sujets. Il y avait un peu de politique mais nous avons plus discuté sur le côté artistique et il n'a pas hésité à faire la pub au sujet de son agence immobilière.

Si j'avais besoin d'une maison, il serait ravi de m'aider à trouver la bonne ce qui est assez hilarant. Il m'a aussi dit qu'il était l'heureux papa d'une petite fille âgée de huit ans qui se nomme Audrey. Il m'a parlé d'elle et m'a montré quelques vidéos d'elle. Lorsqu'il parle de sa fille, ses yeux sont tellement pétillants. À la fin de notre soirée, ce dernier a proposé de me raccompagner chez moi ce qui a été tout à fait aimable de sa part.

Le lendemain matin...

Ce matin je me rends sur mon lieu de travail, je parle de l'immeuble qui n'est pas loin de l'école en construction. Aujourd'hui c'est mon dernier jour de travail ici, ça fait bizarre de se dire que je ne vais plus venir ici tous les jours. Les choses vont considérablement changer bref une fois sur le toit, je profite mon chef d'œuvre. Pendant les deux heures que je passe je ne me rends même pas compte du temps qui s'est écoulé. Lorsque j'ai terminé, je vais ranger et récupérer mon matériel et je descends en bas. Me trouvant en face de l'immeuble, je prends quelques photos avant de m'en aller.

Je vais rejoindre Mina à l'entrée de la clinique deux heures plus tard, elle avait une visite chez la gynécologue aujourd'hui. C'est un moment important et elle ne pouvait pas le vivre toute seule.

Point de vue de Massimo

Je viens de terminer un rendez-vous important avec un client et je me rends dans un restaurant pour y rencontrer mon père. Je prends place et je trouve ce dernier déjà installé, il sirote une boisson alcoolisées. Nous parlons de boulot et de la famille. Je lui demande des nouvelles de maman et du prochain anniversaire de Milla, cette dernière en parle depuis déjà quelques mois. Elle en fait déjà toute une montagne, c'est vrai elle casse les oreilles de tout le monde ce qui n'est pas drôle. Si on ne lui organise pas une fête digne de ce nom, elle va tirer la tronche durant les prochains mois à venir. Elle l'avait déjà fait lors de ses seize ans et nos parents avaient tout fait pour qu'elle puisse leur excuser.

— Bon moi je vais y aller, lui dis-je en prenant mon téléphone.

— Tu as raison, tu dois t'occuper de mon petit-fils.

Je quitte le restaurant et je vais rejoindre mon petit prince à la maison pour passer un après-midi avec lui.