Chapitre 17

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Je suis devant la porte de chez Renzo et Ornella. Aujourd'hui je vais passer la matinée avec ma belle-sœur et ma petite nièce d'amour qui est un peu souffrante. Hier j'ai eue leur appel et vu que je n'ai rien à faire, j'en profite pour passer un peu de temps avec elles ça nous fera vraiment du bien je pense.

La porte s'ouvre après quelques minutes sur ma belle sœur tenant Nina dans ses bras. Je leur  fais la bise et nous allons prendre place sur le canapé du salon. La petite prend place au milieu d'entre nous et ma belle-sœur se lève pour aller me chercher à boire.

— Comment vas-tu ? Me demande-t-elle depuis la cuisine.

— Je vais bien et vous ? Et toi mon amour ? Demandais-je en regardant ma petite nièce d'amour.

— Ça va tata Dalia, me dit-elle d'une voie fatiguée et calme.

— Je suis heureuse de le savoir, lui dis-je en l'embrassant le haut de la tête.

Ornella revient avec de quoi boire et grignoter. Elle pose le plateau et nous nous servons, je donne une madeleine à Nina qui est collée à moi.

— Je suis tellement heureuse d'être avec vous, leur dis-je.

— Nous aussi...







***





— Ornella, où es-tu ? Demandais-je en descendant les marches d'escaliers.

— Je suis par ici, répondit-elle depuis la cuisine.

Je me dirige vers la cuisine afin de discuter avec elle. Je trouve ma belle-sœur occupée par faire la cuisine, je tire une chaise et m'y installe.

— Qu'est-ce-qui va pas ? Me demande-t-elle en m'ayant écoutée soupirer.

— Oh je suis fatiguée, je te dis pas la galère que j'ai eue pour endormir ma petite Nina, lui répondis-je en la regardant.

Elle arrête de cuisiner et éclate de rire.

— Si tu savais le nombre de fois qu'elle nous le fait quand elle est malade où quand elle ne veut pas dormir. Ton frère et moi nous en voyons parfois de toutes les couleurs avec notre petite princesse.

— Je vois à présent pourquoi vous avez souvent besoin de passer du temps ensemble, rien qu'en amoureux.

— Oui mais malgré tout cela nous adorons notre princesse et nous n'imaginons  pas notre vie sans elle.

Je me contente de sourire et de lui proposer mon aide. Elle accepte et je vais l'aider à poursuivre les préparatifs de la cuisson.

— En parlant d'amour où en es-tu toi ? Me demande-t-elle en faisant un mouvement de tête.

Je prends un peu une tête de choquée en ayant écoutée sa question.

— Oh là là, vu la tête que tu fais je peux dire que j'ai eue ma réponse, pouffa Ornella.

— Ce n'est pas drôle, c'est pas ma faute si je suis tombée sur un connard de première.

— Je sais mais tu as besoin de retrouver l'amour, de tomber amoureuse d'un autre homme qui cette fois-ci te méritera vraiment. Fis-je en continuant d'éplucher les carottes.

— Le temps nous le dira, pour le moment je vais...

— Hep hep hep ! Tu le sauras dès demain soir, je t'ai trouvée un rancard avec un pote. M'annonce-t-elle comme si c'était la chose la plus naturelle possible.

Un Milliardaire Pas Comme Les Autres Où les histoires vivent. Découvrez maintenant