☀️chapitre 12 ☀️

1.1K 78 1
                                    




Adlar dégageait une atmosphère bestiale que kalifa ne lui connaissait pas , elle voyait le sang qui imprégnait férocement ses yeux s'en était tellement effrayant qu'elle faillit presque se faire pipi dessus.

- Adlar..?

Le sultan était comme transféré dans un autre monde il trouvait la mort beaucoup trop douce pour ce homme qui voulut violer sa protégée il aurait même voulu le fait souffrir plus atrocement jusqu'à ce qu'il agonise mais ses pulsions avaient pris le dessus il ne supportait pas de voir un autre homme que lui poser ses mains sur kalifa encore plus si c'est pour la violenter. Il était empli d'amertume et de rage quand soudainement il entendit une voix prononcée son prénom, celle de kalifa dès lors son regard se posa sur elle et s'adoucissait un peu.

- pourquoi tu es têtu à ce point ? Je n'ose pas imaginer ce qui se serrait passé si je n'étais pas intervenu !

Il voulu s'approcher d'elle mais elle eut un mouvement de recule , elle semblait apeurée et n'arrivait même pas à soutenir son regard il était blessé par sa réaction parce qu'il avait sauver d'un malfaiteur et c'est ainsi qu'elle le récompensait mais tout deux sortirent de leur état par la voix d'aboubac.

- mais qu'est-ce qui s'est passé ici?

Le sultant et kalifa se regardèrent avant qu'il ne prenne la parole.

- ce malheureux a tenté de la violer alors je lui ai donné le châtiment qu'il méritait !

Le visage d'aboubac se blêmit automatiquement

- mais quelle horreur ma fille tu vas bien?

Elle le regardait mais ne pouvait pas placer un mot tant elle était dans un état second .

- je vais appeler fatéma pour te venir en aide et ne vous inquiétez pas votre altesse je vais me charger de ça , j'ai demandé à son altesse Al dinar de vous remplacez puisque je ne crois pas que vous soyez en état de vous dirigez à nouveau au gala de charité.

- effectivement je serais dans mon bureau .

- votre altesse vous devriez vous rafraîchir d'abord

C'est là qu'Adlar regarda ses mains et ses vêtements il y vit plein de sang , le sang infecté de ce sale violeur pensa -t- il.

ADLAR

J'avais pourtant laissé des ordres ils étaient très simple mademoiselle ne devait pas bouger de ses appartements il est vrai que dans le fond je l'avais fait pour la garder égoïstement secrète pour ne pas qu'elle soit la bête de foire des journalistes et je ne voulais absolument pas que les hommes se ruent sur elle tel des vautours affamés de viande fraîche et j'avais finalement raison à peine s'était-elle présenter qu'un minable s'est mit à ses trousses et de surcroît il a eu le culot  de faire ça dans mon palais et sous mon nez qui plus est ! Lors qu'Habib m'a dit qu'il l'a aperçu j'ai vue rouge je n'arrivais plus à me concentrer sur mes invités j'étais inquiet et je devais la voir. Même si sa réaction de tout à l'heure m'a piqué à un point inimaginable je ne peux que la comprendre elle a tout même failli être violée aussi elle n'avait jamais eu à faire à mon côté sombre pour ne pas dire bestiale maintenant que c'est fait je me demande comment seront nos rapports futurs.

Le sultan n'arrivait pas à dormir de toute la nuit , il ne faisait que penser au regard de biche apeurée qu'il a vu dans les yeux de kalifa puis soudainement il fut pris d'impatience , il se leva d'un bond et alla la retrouver dans sa chambre. Elle était là, allongée en position du fœtus dans son lit il voulut s'allonger près d'elle pour la porter dans ses bras et lui dire que tout irait bien désormais qu'il serait comme son ombre et ne la lâchera plus d'une semelle mais il se contenta de s'installer sur le fauteuil de peur qu'elle ne le repousse à nouveau. Au petit matin les rayons du soleil faisait émergé Adlar d'un court sommeil il se leva lentement et vit que kalifa était déjà debout. Elle était assise entrain de l'observer.

LE SULTAN DE CALEGANOù les histoires vivent. Découvrez maintenant