☀️ chapitre 18☀️

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Les jours passèrent et Le sultan continuait à épuiser sa femme, son envie d'elle ne faisait qu'augmenter au fur et à mesure qu'il lui faisait l'amour. La pauvre n'avait pas eu un moment de répit et quand le dimanche fut arrivé c'est à dire le septième jours, Adlar avait tenu sa promesse car kalifa était si épuisée qu'elle ne tenait plus debout , elle pouvait à peine parler et son mari en était très fiers si bien que même dans ce état il voulut encore lui faire l'amour.

Adlar

Mais quelle plaisir de voir ma femme dans ce état, j'aurais voulu l'épuiser encore plus car c'est une semaine n'ont pas suffit à calmer mon appétit grandissante , l'amour que je ressens pour elle est si fort que je serais prêt à donner ma richesse et mon pouvoir au premier venu rien que pour ses caresses.

- il faut croire que tu as véritablement tenue ta promesse, regarde l'état dans lequel je suis .

- j'aurais voulu faire bien plus crois moi !

Elle le regarda avec un visage horrifié.

- ne me regarde pas comme ça Habibti tu me rend fou !

- je t'aime aussi hayati mais je ne crains que tes envies sexuelles soient beaucoup trop lourde pour moi.

- ne t'inquiète pas tu t'y feras et il me semble que toi aussi tu as des envies tout aussi vorace que les miens en tout cas sous ce air d'agneau se cache une véritable lionne.

Elle rougissait automatiquement et le trajet retour se passa dans un silence très agréable.
Une fois arrivé au palais , kalifa du fournir un effort surhumain pour pouvoir se tenir sur ses jambes, elle était véritablement exténuée mais ne voulais rien laisser paraître par pudeur . Fatéma qui n'était pas dupe est venue aider kalifa à se tenir debout correctement.

- merci à vous fatéma conduisez-là dans notre chambre elle a besoin de repos.

Kalifa gloussa à cette phrase elle avait oublié que maintenant qu'elle était la femme du sultan elle devait partager la même chambre que lui.
Pendant ce temps Aboubac échangeait quelques mots avec le sultan.

- votre séjour s'est très bien passé majesté, à en juger  l'état de votre épouse !

- tu me connais Aboubac j'aurais voulu faire mieux que ça !

Aboubac eu soudainement le visage pâle , Adlar se moquait de lui à gorge déployé.

- voyons Aboubac ne réagis pas comme ça on a l'impression que tu as vue la mort , c'est juste que je suis très amoureux de ma femme !

- mais quand même...

- donne moi les nouvelles du pays , rien de suspect durant mon absence ?

- Non tout est calme depuis un certain moment

- et concernant notre petite affaire ?

- la aussi tout est calme , c'est juste qu'il continue à inviter certains rebelles à rejoindre sa cause à ce sujet son altesse al dinar voulu se débarrasser de lui mais je lui ai dis de ne pas s'inquiéter.

- c'est très bien qu'on le laisse faire j'ai hâte de le voir face à moi!

Je n'ai pas encore informé kalifa de la présence d'oussamar mais il va falloir que je le fasse si je veux qu'elle participe à mon plan.

Kalifa

- à ce que je vois ton mari s'est très bien occupé de toi ma fille .

Lui demandait fatéma avec un clin d'œil du coin de l'œil

- Ehh bien comme tu vois fatéma cette fois je ne vais pas jouer au femme timide , il s'est très bien occupé de moi il m'a rendue femme et j'en suis plus que fiers

LE SULTAN DE CALEGANOù les histoires vivent. Découvrez maintenant