You're my cure [Bucky Barnes]

14.

Bucky PDV : (2016)

Cela fait presque 2 ans que j'ai réussi à m'enfuir après m'être battu contre Captain America, ou Steve. J'ai habité dans plusieurs ville sans y rester très longtemps pour ne pas qu'Hydra ne me retrouve et aussi pour me faire oublier en espérant qu'il me croit mort si je ne revenais pas. J'ai donc voyager de ville en ville avant de me poser en Roumanie, à Bucarest. Je me suis installé dans un petit appartement suffisamment grand pour moi tout seul, avec un kitchenette, un petit matelas dire de dormir avec un minimum de confort même si je ne dors jamais vraiment juste au cas où je devrais partir en urgence.

Malheureusement Steve a réussi à me retrouver et quelques heures plus tard et comme je le pensais, je me suis fais arrêter suite à la course poursuite entre moi, Steve, l'homme chat et des policiers. Pour quelque chose que je n'ai pas fais. Mais dire le contraire ne servirai à rien, je suis le soldat de l'hiver, personne ne me croirais. Je suis actuellement enfermé dans un des sous-sols du bâtiment dans une sorte de cage en verre, les mains et le chevilles attachés au siège auquel je suis assis. Au bout d'un certain temps, un homme entra, et il ne m'inspire pas du tout confiance.

- Bonjour monsieur Barnes. Je suis mandaté par les Nations Unis pour vous évaluer. Vous permettez que je m'assois ? Votre prénom c'est James ? Je ne lui répond pas et continue à le regarder. Je ne suis pas là pour vous juger, je voudrais juste vous poser quelques questions. Est-ce que vous savez où vous êtes, James ? Il ne s'arrêtera donc pas de parler ? Je ne pourrais pas vous aider si vous ne me répondez pas.

- Je m'appelle Bucky. Finis-je avec un regard noir.

Il continua de me poser des questions absurdes auxquels je ne répond pas.

- Dites moi Bucky, vous avez dû en baver, hein ?

- Je n'ai pas envie d'en parler. Dis-je en tentant de rester calme.

- Vous avez peur, si vous desserrez les dents, de raconter trop d'horreurs. Ne craignez rien, Moi il n'y a qu'une chose dont je voudrais parler.

Il parlait de quelque chose dont je ne compris pas tout de suite le sens, mais quand d'un coup toutes les lumière se sont éteintes, je compris que ça allait mal tourner.

- C'est quoi ce cirque ? Demandais-je au psychiatre.

- Si on parlait de ta patrie. Pas la Roumanie et encore moins Brooklyn, non.

Mais de quoi il parle ?

- Ta patrie d'adoption.

Je compris tout de suite de quoi il parlait quant il sorti le carnet rouge qu'avait Hydra. Avec ça il va pouvoir faire revenir le soldat de l'hiver. Non pas ça ! Il se leva, enleva ses lunettes et pris une petite lampe torche pour éclairer les pages du carnet.

- жаждущий (envie), Ржавые (rouiller), Семнадцать (dix-sept), рассвет (aube). Je commança à hurler en sentant le soldat de l'hiver refaire surface, ce que je voulais à tout pris éviter alors j'essaya de me détacher en tirant de toutes mes forces sur mes liens.

- печь (fournaise), Девять (neuf), доброкачественный (bénigne), возвращение домой (retour au foyer), Один (un), грузовой вагон (wagon de marchandises).

Il avait réussi, le soldat de l'hiver est revenu après deux ans. Je me souviens avoir dit au faux psychiatre ou se trouvait la base d'Hydra en Sibérie là où j'ai été longtemps enfermé, m'être battu contre Steve, Stark, une fille rousse et de nouveau contre l'homme chat. Après ça c'est le trou noir.