Retrouvailles

Chapitre 8: Attaque

Pdv Katsuki : 

Je me réveille près à exploser mon réveille mais me rend compte qu'un poids se trouve sur mon torse et que des jambes sont emmêler au mienne, je me souviens alors qu'hier je me suis coucher avec Deku. Pris d'une envie sans nom de le réveiller brutalement uniquement pour mon plaisir je le fais, je rapproche ma main de son oreille et tout doucement je crée une petit explosion près de son oreilles elle n'est ni trop forte pour le rendre sourd ni trop légère pour ne pas le réveiller. Il se réveille d'un bond me regardant telle un extraterrestre et observe peu longtemps où il se trouvent, très sûrement le temps qu'il se rappelle que nous nous sommes coucher ensemble vers 4h30 et la fatigue et bien marquer sur nos visage, il a les yeux rouges et la joue rouge montrant qu'il y a moins de 5min il était allonger sur quelque chose (moi). Il me regarde et reste bloquer c'est joue rougissent. 

-Tu apprécies la vue ? 

Ce rendant compte qu'il me fixe depuis bien trop longtemps, il détourne la tête murmurant des mots ou phrase incompréhensible.

- Je dois retourner dans ma chambre chercher des vêtements, on se voit plus tard en cours. 

Je n'ai pas le temps de lui répondre qu'il est sortit de la chambre. Je prend mes affaire et part en direction des douches communes pour pouvoir me réveiller correctement. Dormir si peut de temps et vraiment une mauvaise idée. Douche prise, petit déjeuner pris et mon sac sur une seul de mes épaules je défait légèrement ma cravate, je n'aime pas porter se genre d'accessoire j'ai cette impression d'étouffer quand je les portes qu'il m'est impossible d'en mettre. Je prend la direction du lycée, un peu plus grognon que d'habitude du au manque de sommeil. Je n'ai pas le temps d'arriver jusque la salle que je me fait aborder par tête d'orties qui m'enlace, il m'enlace ? Je reviens sur terre et lui explose la tronche malheureusement il le temps d'activé son alter et de se protéger. 

- Pourquoi ?  

- Comment ça pourquoi ? Tu m'enlaces de bon matin alors que tu ne le fais jamais et tu sais que je n'aime pas ça. 

- Je me suis dit que ça te ferrais peut-être plaisir de recevoir de l'amour venant d'une autre personne que de toi même, nan je rigole je me suis pris les pieds et je suis tomber et tu étais sur le chemin de ma chute du coup t'as cru que je te faisais un câlin ce qui n'est absolument pas le cas, eheh *se gratte la nuque*  

Je me retourne et continue mon chemin l'écoutant à moitié lorsqu'il me parle les mains dans les poches, nous rentrons dans la classe je part m'installer et remarque que Deku est déjà à sa place, je part m'assoir à la mienne ce qui veut dire en face de lui et mon "groupe d'ami" ou plutôt les personnes qui me collent jour et nuit arrivent et commence à se taper la discu autour de moi, je n'y prête que très peu d'attention et ne répond uniquement que part de "hmm" et rien d'autre. 

PDV Izuku : 

Je sort de la chambre de Katchan en courant, et redescend au deuxième pour retourner dans ma chambre. Je suis rouge de gêne, je n'arrive pas encore à me rendre compte que je viens de passer la nuit dans sa chambre, dans son lit, sur lui qui plus est et que c'était confortable à souhait. Bon pas le temps pour le blabla je m'habiller et descend prendre mon petit déjeuner et part en cours. Aujourd'hui nous sommes de sortit avec monsieur Aizawa nous partons en bord de plage pour nous entraîner au sauvetage en mer. Il rentre dans la classe et nous prenons tous places ce qui est un peu bête car nous allons nous relever dans quelque instant pour partir en bus.

Aizawa : 

- Bien je vais vous expliquez comment vas se dérouler la journée, premièrement on vas pas aller sur la plage qui se trouve pas loin mais nous allons nous éloigner des civils et partons pour Enoshima qui se trouve au porte de Tokyo.  On y passera la journée et rentrerons dans la nuit, vos familles sont toute prévenu, nous les avons appeler se matin pour obtenir vos autorisation de sortit. Midorya tu appelleras ta mère lorsque nous seront arrivé, elle veut être sur que son fils chéri vas bien. Bien reprenez vos affaires nous y allons.