Chapitre 4

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J'hésite pendant plusieurs seconde avant de poser délicatement ma main sur son épaule. Il ne réagit toujours pas et ça ne me rassure pas du tous mais alors pas du tous. Je commence à le secouer, mais je crois qu'il n'a pas aimer car sans que je mis attendes il me fait une clé de bras et me plaque par terre.

Mais c'est qui ce malade ?!

Je lâche un gémissement de douleur. Et toussote, à cause du sable qui est rentrer dans ma bouche.

Le garçon semble enfin réagir, et me lache en se confondant en excuse, il me tend ça main légèrement tremblante mais je ne la prend pas. Non mais il a cru quoi ce malade.

-Non mais ça va pas ?!

Je crache les grains de sable qui ce sont infiltrer dans ma bouche. Je lève les yeux pour regarder ce malade qui vient de me plaquer au sol. Whoua ces yeux, ils sont vairons un œil marron et l'autre vert. Dommage qu'ils soit rougis, on dirait qu'il a pris de la drogue ou encore une méchante cuite.

- je suis désolé tu ma fait peur, je voulais pas... te faire mal.

Il doit avoir mon âge ou peut-être un peu plus, je suis surprise de ne jamais l'avoir croisé. Il fixe le sable comme si il était d'une infini beauté. Il faut que je trouve un truc à dire parceque là c'est trop gênant.

- qu'est-ce que tu fais ici ?

Il semble réfléchir ce qui me semble curieux, pourquoi réfléchirait-il a une question aussi simple. Je me raidis brusquement lorsque ces yeux vairons se plonge dans les miens. Je vois de la colère dans son regard ce qui me fait d'autant plus peur avec ces yeux rougis.

-qu'est-ce que ça peut te foutre.

Non mais il est sérieux là ?!

- je te rappelle que tu étais recroquevillé par terre et qu'il est 8h du mat.

Merde il est quel heure ?! Je sort vite mon téléphone et m'aperçoit qui est déjà 9h15. Et merde j'ai pas vue le temps passer. Je relève les yeux là où se trouvait le mystérieux garçon mais il est déjà partie parceque je ne le vois nul part.

Bon j'ai franchement pas le temps pour joué à ou est Charlie. J'enfile à la vas vite mes chaussettes et mes baskets. Mon Dieu que c'est désagréable le sable dans les chaussures. Je met mon casque et met le contact, ne manquant pas de faire rugir le pot d'échappement.

Sur la route je grille quelque feux de circulation ainsi que quelques priorités. Je ne dois surtout pas arriver en retard pour mon deuxième cours sinon il vont appeler mes parents, et franchement je n'ai vraiment mais vraiment pas envie. J'arrive pile poil à la sonnerie et je commence à marcher dans les couloirs jusqu'à ma salle. Cassiopé entre dans la classe quelque minutes après moi.

Comme à son habitude celle-ci entre avec un sourire flamboyant ne manquant pas de faire tourner quelque tête d'envieuses et d'obsédé. Elle viens s'installer à côté de moi comme à son habitude.

- Ça vas je ne t'es pas vue l'heure d'avant ?

- Ouais j'étais en retard

Je lui épargne les détailles et je ne lui en dit pas plus, elle l'a très bien compris et ça depuis qu'on se connaît que je n'aime pas trop parler.

- Au faite tu feras gaffe mais ton glosse bave un peu.

Elle me regarde avec des yeux rond et ouvre légèrement la bouche. Je la regarde avec un petit aire moqueur. Je sais déjà qui a bien pu lui enlever son gloss.

- Non mais tu aurais pas pu me le dire plutôt !

Elle sort son miroir de poche de sa trousse et commence à enlever le glosse qui a légèrement bavé sur le côté. Le prof commence son cours sans prêter attention à Cassiopé en pleine révision maquillage. Et pour cause il est habitué ça fait 2 ans qu'il l'a comme élève, tant qu'elle ne perturbe pas son cours ça lui vas. Une fois finis elle me regarde avec un sourire niait sur la tête.

- et toi alors pourquoi tu t'es maquillé?

Maquiller ?

Ah mais oui je me suis maquillé ce matin du à la petite nuit, j'avais complètement oublié. Elle me regarde toujours avec ce sourire niait mais en plus il y a des yeux remplis de malice. GÉNIAL.

Trouve un mensonge Enara et vite !

Je ne lui parle pas de mes nuits d'insomnie. Elle me dirait que j'ai besoin d'un mec pour m'aider à dormir et que un peu d'activité physique avant de dormir ça aide vraiment. Après elle vas me raconter tous ces ébats avec sont copain, sans m'épargniez les détails bien sur sinon ce serait pas drôle. Franchement pas envie d'être traumatisée plus que je ne le suis déjà.

- Bas quoi j'ai pas le droit d'essayer d'être aussi belle que ma copine ?

Lèche Q ...

Elle lâche un petit rire doux et sensuelle. Puis me regarde avec des yeux rieurs.

- Dans ces cas là ma cocotte faut que je t'apprenne les bases parce-que là l'anticerne n'est clairement pas à ta teinte.

Bravo Sherlock, je ne m'en était pas rendu compte.

Et puis c'est pas de l'anticerne mais du fond de teint.

- Ne t'en fait pas le maquillage c'est pas trop pour moi.

Et voilà je lâche un des plus beau sourire que j'ai en stock. L'heure s'écoule, et je n'ai toujours pas réussi à comprendre un seul mot du prof. Cassiopé n'arrête pas de me donner ses conseils maquillage.

- Ça te dit de venir dormir à la maison ce soir ? Mon père n'est pas là.

Ça proposition me surprend un petit peu parce-que d'habitude c'est son copain qu'elle invite pas moi. Cassiopé vie avec son petit frère de 5 ans et de son père. Ça mère est morte il y a 4 ans suite à des problèmes cardiaques .

- Oui bien sûr je serais là.

Merde pourquoi j'ai accepté !

Mon père ne voudra jamais.

- On dit vers 19h ?

Je finis les cours à dix-sept heures ce qui me laissera le temps de prendre mes affaires avant l'arrivée de mon père.

- ouais.

La sonnerie retentit à peine que déjà 4 personnes sont partie y compris Cassiopé.
Quand est-ce qu'elle a ranger ces affaires ?

**********
Le journée a été pitoyable comme toujours. J'enfourche ma moto que je démarre sans plus attendre, laissant ainsi certain regard curieux et d'autres regards remplis de jugement.
Je hausse un sourcil en croisant un regard de dégoût envers moi et ma bécane.

Bas quoi t'a jamais vue de fille faire de la moto ou quoi à moins que tu sois un macho.

Je n'ai pas le temps de perdre mon temps avec lui il faut que je rentre chez moi préparer deux trois affaires. Je passe à côté de la plage de se matin et je me souviens encore de la clé de bras que ce psychopathe m'a faite ainsi que ces yeux vairons rougis.

Quelle connard....
.............................................................................J'ai vraiment peur que cette histoire ne vous plaise pas. Dites moi ce que vous en pensez.

Deux sur la routeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant