Deux sur la route

Chapitre 10

17h00
Il y a beaucoup de monde qui finis a dix-sept heure aujourd'hui, et c'est encore plus étrange parce-qu'ils sont tous regroupés vers les places de parking pour motos.

Merde ma moto.

Je me fait un chemin au milieu de tous ses lycéens, certains font 3 tête de plus que moi d'autre sont minuscules mais malgré ça je continu mon chemin.

Si ils ont touché à ma moto je les tues.

Ils sont tous tellement captivés par ce qui se passe qu'ils ne m'insultent même pas quand je les bouscules.
Arriver vers l'endroit qui accapare leur attention, j'arrive a présent à apercevoir une personne de dos, épaule large, cheveux roux, avec un sécateur ?!
Mais attendez il fait quoi avec un sécateur lui ?

Je bouscule d'autres personnes pour savoir ce qui se passe. Un gars brun plutôt petit est entrain de crier sur le roux qui tiens toujours son sécateur. J'aurais aimé entendre ce qu'ils disent mais les autres font tellement de bruit que rien ne me parvient au oreille.

J'observe les motos garées, tous en cherchant la mienne. Je m'avance vers celle-ci, je cherche si une quelconque rayure aurai fait irruption sur ma carrosserie. Rien, ma moto n'a rien c'est tous ce qui compte.

Le rouquin est toujours entrain de s'engueuler avec le petit brun, mais la différence est que le sécateur est maintenant par terre. Juste à quelques mettre de moi.

Bon moi j'ai vraiment pas envie d'avoir des problèmes, alors je m'équipe à toute allure. Je sors ma moto à reculons et avant de m'engager sur la route je regarde une dernière fois le parking à travers mes rétros, les deux était toujours entrain de se disputé mais le directeur a fait son apparition les faisant taire. Il a dû remarquer que aucun n'élève était en cours car juste après il a fait remonter tous les lycéens en cours.

Il y avait beaucoup de voiture sur la route et je déteste ça. Je ne voulais pas rouler avec se monde alors j'ai pris une petite ruelle. C'est un de mes petits raccourci personnel. Il ne faut juste pas croisé une voiture dans le sens inverse parce-que sinon on serait coincé.

Cassiopé ne m'avais pas reparlé de ce qui s'était passé à la pose déjeuner, elle était sûrement gêner ce que je peut comprendre. Mais elle était partie sans rien dire me laissant seul avec mon épaule imbibée de ses larmes.

Ma maison n'est plus qu'à quelques mètres, il faut que je trouve des arguments pour convaincre mon père de me laissé partir.

Une fois la porte d'entrée franchie je sens l'odeur des cookies me chatouiller les narines me mettent l'eau à la bouche. Je me dirige tous naturellement vers la cuisine d'où sort l'odeur sucrée.

- Mon sucre d'orge tu est rentré !

Tata !

C'est ma tante qui est devant moi. Je ne l'avais pas vue depuis l'été dernier. J'avais d'ailleurs passer de merveilleuse vacances chez elle. Ma tante Clarice est tous l'opposé de ma mère elle a les cheveux constamment détachés, avec des couleurs de cheveux différentes chaque mois. Je m'étonne toujours qu'elle en ait encore.

- Tante Clarice !!!

Je lui saute au cou, elle manque de tombe à le renverse mais heureusement elle se rattrape au plan de travail.

- tu es resplendissante, mais beaucoup trop maigre....

Woua j'avais oublié à quel point elle est direct, sans filtre. Mais il est vrai que j'ai maigris ces derniers temps, j'essaye d'éviter un maximum de descendre en bas le soir ce qui veut dire pas de repas.

- heureusement tata est là pour arranger ça.

- tu restes combien de temps à la maison ?

Je savais qu'elle ne serait pas là très longtemps, elle n'apprécie pas vraiment mon père. Elle l'a toujours vue comme un coureur de jupon, et elle n'a jamais changé d'avis.

-Je suis désolé ma puce je suis de passage je viens chercher ta mère, elle se tue au travaille en se moment alors j'ai décidé avec son médecin de la prendre en vacance chez moi, je te l'aurais bien proposé mais tu as cours et je ne voudrais pas que tu rates ton année.

-ok

Un voile de tristesse est apparu sur ces yeux d'habitude éclatant. Elle s'inquiète vraiment pour la santé de ma mère, moi aussi d'ailleurs. Enfin je sais juste qu'elle prend des somnifères pour s'obliger à dormir.

Mon ventre se noue ma gorge me brûle, je viens seulement de réaliser se que cela implique...

Je vais me retrouvé seul avec mon père.

Il n'y aura plus aucune limite, plus personne pour intervenir, plus personne. J'étais seul avec un monstre, avec l'objet de mes cauchemars.
****************

Cela fait deux heures que ma tante et ma mère sont partis. J'entend encore les cries de ma mère suppliant ma tante de la laisser, de ses pleures. Je déteste voir ma mère dans cette état ça me rend malade.
Personne dans la maison elle est plongé dans le calme mon père n'est pas encore rentré, ce qui ne présage rien de bon.

Je ne sais pas à quel heure je me suis assoupie mais une sonnerie me tire de mon sommeil.

- allo ?

Ma voix est endormie et ma bouche pâteuse. L'heure de mon téléphone m'indique 23h40.
Non mais qui appelle à cette heure là sérieux ?

- vous êtes bien la femme de Roger. Vidal ?

- Heu non je suis sa fille Enara.Vidal. Que ce passe t-il ?

- je suis l'agent de police qui a arrêter votre père pour conduite en état d'ivresse. Pouvez-vous venir le récupérer au centre de police.

- heu je... heu... enfaite je n'ai que 17 ans et ma mère n'est pas ici.

-je vois mademoiselle très bien, nous allons garder votre père au commissariat le temps qu'il soit en état de conduire, ou bien qu'un adulte vienne le chercher.

- je vous l'est déjà dit personne ne peut venir le chercher.

- très bien veuillez nous excusez du dérangement nous vous souhaitons une bonne nuit.

Une fois le téléphone raccroché j'inspire un grand cou me libérant du stresse qui avait envahi mon corps sans que je ne m'en aperçoive. Mon père ne vas pas être content en rentrant. Je ferais mieux de ne pas être là à sont retour.

..............................................................................J'essaye de publier un chapitre tous les deux jours mais mine de rien ça demande du temps. Ce chapitre doit être bourré de faute je ne me suis pas relue dsl.