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Je zigzague entre les voitures frôlent la mort à mainte reprise.

Mon casque entend mes histoires, mon accélérateur m'a rage et mon pot d'échappement crie à ma place.

Je déteste mon impuissance face à cette situation, je m'oppose et je refuse qu'elle vive la même chose que moi je ne me le pardonnerai jamais.

Ça fait mal et j'ai du mal à respirer, une nouvelle douleur qui s'ajoute en plus des anciennes.

Elle a dix ans comme moi à l'époque, elle est encore pur comme moi je l'étais. Son regard est innocent, je ne peut pas me résoudre à la laisser plonger dans les ténèbres, il faut que je trouve un moyen de l'aider, d'empêcher ce monstre de lui voler sa pureté.

Mais une nouvelle fois se sentiment d'impuissance prend place et m'énerve. Je claque les vitesses vers le haut et file à toutes allures entre les voitures, je n'est aucune destination en tête tous se que je veux c'est me défouler.

Ma moto passe à coter d'une salle de sport avec ce qui semble être une salle de boxe.

Quoi de mieux pour se défouler que de la box ?

Je gare ma sublime moto et entre dans la salle, sa pue la transpiration. Après tous c'est normal je me trouve dans une salle de sport. Personne n'est au comptoir se qui me facilite l'entrée au début de multiples machines de sports sont occupés.

Mais toujours aucun sac de frappe n'y même de ring. Je vagabonde entre les machines et les personnes. Une double porte orange me fait face, c'est sûrement la salle de box. Aucune affiche est affichée alors pour savoir ce qui se cachent derrière il faut l'ouvrir.

La porte s'ouvrent difficilement mais ce que je vois me ravie. Un énorme ring est installé au milieu et tous autours dans la salle des Sac de box des gants et tous ce qui vas avec.

Plusieurs personne s'entraîne et j'en viens vite à la conclusion que aucune fille ne s'y trouve.
Je marche entre les sac de frappe, j'analyse les alentours et les personnes qui s'y trouvent.

Je pourrait reconnaître ses épaules entre mille.
Horace est la dans un petit ring au fond de la salle. Il se bat contre un garçon beaucoup plus grand que lui.

Les deux son énormément amoché, du sang recouvre une partie du ring.

Je comprend mieux sa force, il fait de la boxe.

Le combat entre les deux personnes se finis rapidement. A ma grande surprise le grand a déclaré forfait et l'arbitre à siffler la fin.

Horace ne m'a toujours pas vue. Mes yeux le suivent, et bientôt se sont mes jambes.

Sa peau luisante m'attire, plus je m'approche plus je sens cette boule au ventre s'accentuer.

Ce n'est pas douloureux c'est agréable.

Mais plus j'approche, plus la mise en garde retentit.

- Horace ?

Il eux un mouvement d'écart puis il me fixa de ses yeux vairons. Il parait surpris.

- Enara qu'est-ce que tu fous là ?

Sympa l'accueil. Se rendant compte du ton qu'il a employé il se radoucit.

- tu fais de la boxe ?

A vraie dire sa question me surprend mais ça  question est justifiée je me trouve dans une salle de boxe.

- Et bien c'est une première et toi ?

Un silence pesant prend place il me regarde mais ces yeux y ont perdu tous leurs éclats comme un voile venu caché un souvenirs bien trop sombre.

Je ne peut y lire aucune émotion juste le vide, cette expression que je met si souvent sur mon visage lors de mes mésaventures avec mon père.

- Je...heu..oui

J'aimerais comprendre pourquoi il était si vide, pourquoi cette cicatrice sur ça hanche tant de question que je ne poserais jamais.

- Je suis assez surpris de te voir ici, on se voit demain soir je n'ai pas le temps là. 

Et le voilà qu'il part à peine il eu finis ça phrase, il m'a laisser là comme un pot de fleur fannée. Il m'a quand même en quelques sorte donner un rendez-vous demain soir.

Je crois que c'est à lui de me raconter une histoire, mais cette fois-ci je partirais avant de m'endormir.

J'ai bien trop peur de me réveiller une nouvelle fois seule.

Je part des l'or vers l'accueil pour m'inscrire à la boxe, j'en aurais bien besoins cette année surtout avec mon père et cette petite fille.

Pour aujourd'hui la boxe c'est mort mais bon je pourrais venir demain, c'est d'ailleurs ce que je vais faire je pense et puis comme ça je le croiserais peut-être.

Le gars de l'accueil est revenue, il est à moitié avachie sur son bureau, on dirait même qu'il dort. J'hésite un instant avant de le réveiller mais je n'ai pas très envie d'attendre.

Ses yeux tire par la fatigue me scrute puis se referme.

- Eh oh j'aimerais m'inscrire.

Le type de l'accueille sort un papier d'un tiroir et l'envoie voler sur la table comme un papier sans valeur.

Je complète la fiche en silence et écrit le chèque. Je dépose le papier à coter de sa tête je n'aimerais pas le réveiller tous de même.

Dehors l'aire c'est rafraîchie laissant ma peau frissonner au courant d'aire froid.

J'ai conscience que je dois rentré chez moi, mais par dessus tous trouver une solution pour cette petite fille. J'aurais aimé appelé ma mère mais l'heure ne s'y prête pas à mon plus grand désarroi.

Se soir je me ferais toutes petite, aussi petite qu'une souris à fin de ne pas se faire attraper par le vilain chat.

Pour tous ceux qui n'ont pas compris l'allusion je parle belle et bien de mon père, peut-être que l'adjectif gros aurait été plus judicieux.

J'ai la conviction qu'en rentrant à la maison un mauvais moment m'attend. En espérant que là petite ne sois pas là pour voir ça.

................................................................................ chapitre un peu beaucoup aléatoire j'ai voulu vous postez la suite aujourd'hui chose faite.

Je n'arrive pas à comprendre que cette histoire vous plaises mais cela me fait tous de même plaisir !

Deux sur la routeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant