Il est temps de rentrer chez moi, sa a été si dur de me décoller de Horace. Le silence n'était pas pesant au contraire il était lourd de sens.La route était vide mais pas ma tête, je me sentais si coupable d' avoir cru que c'était un tueur.
Ma clé s'enfonçait lentement dans la serrure, je savais qu'à l'instant où je pousserais cette porte mon sentiment de sécurité s'envolerait.
Mon pied se posa délicatement sur le carrelage froid de la maison, le salon était vide. Mais des bruits résonnait à l'étage.
Mes affaires posé dans le hall je tendit l'oreille attentive.
Mon cœur se serra la panique grimpa lorsque je compris que c'était la voix d'une petite fille qui criait.
Non...
Non...
NON...J'arrive trop tard, ses mains pouilleuse ont déjà dû la touché.
Je refuse de croire que je n'ai pas réussi à la protéger, c'est impossible..Je montais les marches le plus vite possible tous en essayant d'être discrète. Je me dirigeais vers la chambre de mes parents, les cris ressemblais maintenant à des pleurs.
Suis-je capable d'ouvrir la porte sachant pertinemment se qui s'y cachait ?
J'abaisse délicatement la poignée mon cœur bâtant à milles à l'heure. Lorsque la porte fut assez ouvertes pour voir à l'intérieur, je me figea.
Des poupées par terre jonchant le sol. Puis enfin mon père... faisant des chatouilles à Juliette.
Je la vois tous sourire plier en deux.
Pourquoi la faisait-il rire alors que avec moi il l'a cessé de le faire ? La voyant heureuse ainsi je m'imaginais moi à son âge, malheureusement ce n'étais plus ma réalité.
Alors que mes pensés affluaient dans ma tête, mon corps lui n'avait pas bouger.
Mes yeux rivés sur le visage de mon père je l'inspectait, mais ses yeux se tournèrent finalement dans ma direction.Alors que Juliette continuait de rire mon père me regardais puis laissa s'afficher un sourire carnassier sur son visage.
Un frisson me parcours l'échine.
Ce n'est pas Horace le monstre, c'est mon père...
Juliette repris son souffle puis m'aperçus enfin elle souriait de toutes ses dents.
- Coucou !
Je ne lui répondit pas, je ferma la porte le regard perdu et partie m'enfermer dans ma chambre.
Elle riait... comme j'aurais aimé rire.
La nuit fit rude, j'avais peur qu'il entre dans ma chambre mais par chance depuis notre dernière interaction il ne faisait plus rien.
Si seulement je pouvais disparaître, pourquoi n'ai-je pas une vie basique...
Mon téléphone se mit a vibrer, étrange il n'est que 7h du matin.
Le visage de claire apparaît en grand sur mon téléphone.
- Mon sucre d'orge ?
Je me sens directement apaisé, cela fait du bien d'entendre le son de sa voix.
- Tata ?
Sa voix est toute molle, sa joie semble partie. Où est passé ma tata joyeuse celle qui amenais un rayon de soleil dans ma vie misérable.
- Je suis désolée Enara...
Oh non j'ai peur de se qui pourrais suivre...
- Ta Maman ne reviendra pas, je... enfin elle.
- Qu'est-ce qui se passe Claire ?
Sa voix tremble elle semble si démunie.
- Elle a été placé en maison médicalisée, tu sais ta maman n'a pas supporté le choque quand elle a perdu... enfin tu sais.
Je sais qu'elle ne sens est jamais remise, mais égoïstement je pensais qu'elle allait s'en remettre et qu'elle reprendrais soins de moi.
- Elle ne reviendra jamais ?
Ma voix tremble je sans une goute sallé entrée dans ma bouche.
- Je viendrais te rentre visite mon sucre d'orge je te le promet.
Je sens mon cœur se déchirée à nouveau, elle ne tiens jamais ses promesses.
- Aurevoir Tata...
- A bientôt sucre d'orgeBip....
Nous savons toutes les deux qu'elle ne reviendra jamais.
Je me retrouve seul avec mon père sa maîtresse et une petite fille...
On dirait bien que ma famille disparaît petit à petit.
Je savais qu'un jour elle partirait en milles morceaux, je ne m'attendais juste pas que cela arrive maintenant.
Certain serait dévasté d'apprendre que sa mère ne reviendrais pas. Pourtant je ne ressens rien, cela fait longtemps qu'elle a disparu entre guillemets. Elle était un membre fantôme. Mais sa présence me rassurait un peu...
En se moment les mauvaises nouvelles s'enchaînent les seuls moments de repos que j'ai sont ceux avec Horace. Se sont ces seuls moments où mon cœur est apaiser, ou plus rien n'existe a part lui et moi.
....................................................................................chapitre relativement court, mais charger d'informations.
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Deux sur la route
Roman d'amourEnara fuit sa maison comme la peste, sa moto est là seul à lui permettre de s'enfuir. Mais fuir quoi ? Horace apparu de nul part ? Il vit pourtant a Agde depuis longtemps mais étrangement Enara ne l'avait jamais vue auparavant. Mais pourquoi appar...