CHAPITRE 17

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*le lendemain*

    Je me fait réveiller par Bill qui toc à ma porte comme un fou. Je sors de mon lit avec les yeux à moitié ouvert. J'ouvre la porte et je vois Bill qui croise les bras et me regarde avec un air énervé.

Bill : TU TE FOU DE MA GUEULE, TES TOUJOURS PAS HABILLÉ !

Tom : Qu'est-ce qui t'arrive la ? Pourquoi tu GUEULE dès le matin ?

Bill : Il est 9h45, on part dans 10 minutes donc bouge toi. On t'attends dans le salon avec les gars. Dit-il en tournant les talons pour aller au salon.

    Je ferme la porte de ma chambre de toute vitesse, J'ouvre mon armoir et je prend un pull large, un baggy, des baskets adidas et une casquette. Je sors de la chambre aussi vite pour les rejoindre dans le salon. Les gars me regarde et souffle en me voyant arriver.

Georg : Putain t'en a pris du temps, tu te fesais beau pour ta meuf ?

Tom : Ta gueule. Dit-je en soufflant.

    On monte dans la voiture pour aller chez Adélaïde. Dans la voiture tout le monde rigole et ils sont joyeux sauf moi, je suis stressé et fatigué. Je bouge ma jambe pour manifester mon stresse, Bill le remarque et me tape dans l'épaule pour que je me calme. Au boit de 5 minutes, je sens qu'on me tape dans l'épaule, j'ouvre les yeux et Gustav me dit que nous sommes arrivés.

    En sortant de la voiture la lumière me brûle les yeux. Nous entrons dans le bâtiment, quand nous passons dans cette fameuse cage d'escalier nous nous regardons, je sens un frissons d'angoisse me parcourir le corp. Nous sommes à la porte et Bill toc. La grand mère de Adélaïde nous fait entrer, nous voyons que Agnes est déjà sur place. Elle boit un café et rigole avec Adélaïde. Nous disons bonjour à sa famille, quand je serre la main de son père nous nous regardons avec un regard de haine, il fait même exprès de serrer ma main fort pour me montrer qu'il m'en veut toujours.

PDV DE ADÉLAÏDE

    Tom me fait la bise, nous sourions tout les deux comme des débiles.

    Tom me fait la bise, nous sourions tout les deux comme des débiles

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Tom : Super soirée. Me dit-il dans l'oreille pendant qui me fait la bise.

    Puis après Bill me fait la bise en me regardant avec une grand sourire en coin.

Bill : Alors cette soirée à la fête foraine ?

    Je le regarde bouche bée avec les yeux grand ouvert.

Tom lui a raconté ou il nous a cramé ?

    Mon père leur dit de s'asseoir. Nous sommes tous autour de cette table, un silence gênant suis. Agnes brise se silence en se raclant la gorge.

Agnes : Pour commencer je voulais vous remercier de nous recevoir chez vous.

Maman : C'est normal.

Nanny : Y'a les Tokio Hotel à la maison bien sûr que c'est normal. Dit-elle avec un grand sourire chaleureux.

Agnes : Donc nous sommes ici pour parler d'un voyage au États-Unis. Dans 3 jours nous partons a Los Angeles pour le concert du groupe et il faudrait que Adélaïde vienne avec nous.

Papa : C'est hors de question.

Moi : Mais pourquoi ?

Papa : A cause de lui. Dit-il en pointant du doigt Tom.

Tom : Écoutez monsieur on a eu dès différents, ça c'est vrai mais je... nous souhaitons vraiment quelle vienne.

Papa : Non je te fait pas confiance.

Agnes : Écouter monsieur c'est pour son stage et son avenir car si elle ne vient pas je vais devoir arrêter son stage et elle ne pourra pas valider son année.

Maman : En effet c'est problématique.

Papa : Elle vient...mais pas lui.

Bill : Ça c'est pas possible monsieur.

Papa : Elle vient pas si se petit merdeu est la aussi.

Moi : Mais pourquoi ?

Papa : Il ne me respect pas.

Agnes : Si je peux me permettre.

Papa : Non je vous permet pas. Le coupe telle.

Maman : Depuis tout à l'heure ces toi qui le respecte pas. Juste qu'ici il a été très respectueux ce jeune homme.

Tom : Écoutez monsieur je m'excuse de se qui c'est passer à l'hôpital.

Agnes : Il s'excuse vous voyez. Dit-elle en espérant que cela fera craquer mon père.

Papa : Je ne veux pas, je lui fais pas confiance du tout, regarder le il a une tête de petit con.

Tom : Je vous permet pas.

Papa : Tu va faire quoi tu va me frapper ? Dit-il en se levant.

    Ma mère se lève pour tenir mon père. Tom se lève et dit avec un grand sourire :

Tom : Elle a un joli tatouage votre fille chérie.

    Directement tous le monde cesse de faire du bruit. Un silence gênant et une atmosphère de rage planne dans le salon. Tous le monde affiche le choque de cette phrase sur leurs visages.

Comment il a put osé dire ça ? Je lui pardonnerais jamais se qui la dit.

     Je suis tellement énervé que je veux que tout le monde sorte de chez moi. Si je pourrais j'arrêterai le stage et je les rêverai plus jamais de ma vie. J'ai envie de pleurer de gêne et de colère c'est comme si il venait de me salir.

Papa : Comment ça se fait qu'il a vus se tatouage à ta hanche ? Dit-il en me regardant.

Bill : Nous avons été à la piscine, regardé. Dit-il en sortant son téléphone de sa poche.

     Le reste du groupe acquiesce. Bill montre les photos et mon père se qui détend l'atmosphère et calme revient ainsi que le silence aussi.

Maman : Nous acceptons qu'elle aille au États-Unis. Dit-elle sur d'elle.

Papa : Ma femme voulait dire que nous n'acceptons pas.

Maman : Je sais se que j'ai dit on accepte car sinon elle ne pourra pas retourner dans cette école de riche.

    Mon père réfléchit longuement puis fini par accepter. Je lui saute au cou pour lui faire un câlin et pour le remercier.

Papa : OK elle va eu États-Unis mais pas de drogue, pas d'alcool, pas de soirée et surtout pas de sexe.

Agnes : Promis il n'y aura pas tous ça. Dit-elle sérieusement.

     Le groupe et Agnes sourit nous sommes tous content d'avoir réussi à convaincre mes parents. Ils restent encore quelques dizaine de minutes avant de partir. Je dit au revoir à Tom froidement il le remarque et m'attrape le bras mais je le repousse.

*1h30 plus tard*

    J'appelle Alex pour lui raconter que je part avec eu et je parle aussi de se qu'a dit Tom et je lui raconte comment Bill a sauver la situation. Elle est heureuse pour moi mais elle trouve aussi que se qu'a dit Tom est irrespectueux. Nous parlons pendant encore une dizaine de minutes de son stage et ont raccrochent.

*1 heures plus tard*

MONSIEUR TOM KAULITZOù les histoires vivent. Découvrez maintenant