CHAPITRE 28

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Je m'assoie à côté d'un palmier et Alex me rejoint et elle s'assoit à mes côtés.

Alex : Je sais que tu lui en veux et c'est normale mais il nous a dit à moi et à Bill que c'était juste des fans rien de plus.

Moi : Et tu crois à ça ?

Alex : Pas du tout.

Moi : Merci tu m'a fait peur. C'est un connard. Quand on sera rentré à Berlin je coupe les ponts avec lui.

Alex : Oui ta raison, de toute façon y aura plus rien pratiquement qui te relira à lui. C'est pas comme si vous aviez un gosse ou un tatouage en commun. Dit-elle en rigolant.

Moi : Bah... enfaîte.

    Elle s'arrête directement de rire et elle me regarde sérieusement en comprenant la connerie que j'ai fait.

Alex : Tu déconne Adé. Heureusement que les recouvrement de tatouage ça existe. Bon aller lève toi on va rentrer il est déjà 19h30.

   Nous entrons dans la voiture suivie de peu part les garçons, dans la voiture l'atmosphère est pesante. Personne ne parle. Arrivé à la maison je vais directement dans ma chambre et Tom faut de même puisque j'entends sa porte de chambre claqué. Je file sous la douche et je m'effondre en pleure.

J'aurais pas dû le gifler.

    Je pleure toute les larmes de mon corps, je suis debout dans la douche, l'eau coule sur mes cheveux et mon corps. J'ai la tête qui tourne, j'entends quelqu'un toqué à ma porte.

Tom : Adé je voudrais te parler.

Moi : Euh oui attend. Dit-je en sortant de la douche.

PDV DE TOM

   J'attends devant la porte pour qu'elle m'ouvre mais j'entends un gros boom.

Moi : Putain ça va adé ?

    Elle ne répond pas. J'ouvre la porte et je vais vers elle précipitamment. Elle est allongé sur le sol nue. Je me dépêche de prendre une serviette et de l'entourer avec. Je la porte et je la dépose sur son lit. Je stresse et je commence a vraiment paniqué. Elle a les yeux gonflé et son corps est moue. Je lui met quelques petites claque mais elle répond pas, donc je prend un grand élan avec ma main et je lui met un grosse gifle. Elle ouvre les yeux et je peux enfin soufflé.

Moi : Adé, adé ça va ? Dit-je en prenant sa tête entre mes mains.

Adé : Heu...oui...je...heu...qu'est-ce qui vient de se passer pourquoi tu ma gifler.

Moi : T'as fait un malaise, putain tu m'a fait sacrément peur.

Adé : T'as pleurer ? Dit-elle en posant sa main sur ma joue humide.

Moi : Non...enfin un peu mais c'est rien tu ma juste fait peur. Bon je vais te laisser pour que tu te repose mais me fait plus jamais peur comme ça. Dit-je en en levant du lit.

Adé : Tu peux rester s'il te plaît. Si je fait un autre malaise faudra que tu m'aide.

    Je hoche la tête et je me remet dans le lit d'Adélaïde. Elle se blottie contre moi et je peux pas m'empêcher de la serrer fort contre moi, quand je la prend dans mes bras je me sens tellement mieux.

Je crois que finalement cette gifle je la méritais.

Adé : Pourquoi t'es venue me voir ?

Moi : Je voulais m'excuser pour se que j'ai fait au bar avec cette fille, je m'excuse sincèrement Adélaïde.

Adé : Moi aussi je m'excuse pour la gifle.

    Je la regarde intensément dans les yeux et je sens que je souris comme un débile. Elle le remarque que je souris pour rien alors elle devient rouge. Elle me fait craquer avec ses petites pompette rouge. Se moment intense est casser par un bruit de barreaux de lit qui tape contre le mur.

Moi : Putain Bill et Alex on l'air de s'amuser. Dit-je en rigolant.

Adé : On dirait bien. Dit-elle en rigolant aussi.

    Nous parlons un peu de se que nous aimons dans la vie, comme par exemple notre goût de glace préféré ou encore Qu'est-ce qu'on ferait si on aurait plus que 24h à vivre. Bref des dilemme d'enfants mais c'est drôle et la voir sourire me rend heureux. Après 2h de discussion elle s'endort sur mon torse comme un bébé et je m'endors quelques temps après elle.

*2h00 plus tard*

PDV DE ADÉLAÏDE

    Nous sommes réveillé par une sonnerie de téléphone. Je tâtonne le matela à la recherche de se foutue téléphone. Je fini enfin par le retrouver et je décroche.

Maman : Tu te fou de nos gueules !

Moi : Qu'est-ce qui se passe maman ? Dit-je en me relevant.

Maman : Une photo de toi et de se jeune homme ou on vous voit vous embrasser tourne partout dans les magasines.

Moi : Quel photo ? Dit-je en regardant Tom avec les sourcils froncé.

Papa : JE TE LE PROMET ADÉLAÏDE QUAND TU REVENIR EN ALLEMAGNE TU SERA PRIVÉ DE SORTIE ET TU LE REVERRA PLUS JAMAIS SE MEC, SI JE LE CROISE JE LUI REFAIT LE PORTRAIT A SE CONNARD.

Nanny : Écoute ma chérie t'inquiète pas je vais essayer d'arranger ça en attendant évite les scandales avec les paparazzi. Profite de ta jeunesse ma chérie. Au faite votre tatouage en commun est magnifique. Dit-elle en chuchotant dans le téléphone qu'elle vient de reprendre des mains de mon père.

Maman : Bon écoute essaye de pas aggravé ton cas. Putain Adélaïde t'a quoi dans le crâne ton père avait clairement dit que PAS DE FÊTE PAS D'ALCOOL ET SURTOUT PAS DE SEXE. Bon écoute je te laisse fait attention au fouineur de paparazzi. Bisous. Dit-elle avant de raccroché.

    J'éloigne le téléphone de mon oreille et j'enfonce ma tête dans l'oreiller avant de crier dedans.

Tom : Il se passe quoi ? Dit-il en se frottant les yeux.

Moi : Cette après-midi à la plage on a été pris en photo pendant qu'on s'embrassait. Dit-je en me levant de mon lit et en allumant le pc portable sur mon bureau.

    Je trouve la photo et les fameux articles qui tourne. Je ramène l'ordinateur sur le lit et je montre l'écran à tom

Tom : Putain je vais péter la gueule à se paparazzi.

Moi : Tu le connais ?

Tom : Oui, sa fait plusieurs mois qu'il nous suit partout avec le groupe et à chaque fois il cherche a faire des photos qui feront le plus scandale.

    Je continue de défiler les articles sur mon ordinateur.

Moi : Regarde le nom de cette article : "La blonde préférée de Tom Kaulitz encore dans les parage, se baiser capturé par un paparazzi rend les fans du jeune homme jalouse", ensuite : "Tom Kaulitz le guitariste de Tokio Hotel à un tatouage en commun avec la fameuse blonde avec qui il est de plus en plus souvent, sur se cliché inédit nous les voyons en plein baiser passionnelle. Sont ils ensemble ?". Putain sérieux ils peuvent pas nous laisser vivre.

Tom : On va aller le trouver se connard. Dit-il en se levant du lit.

Moi : Quoi ? Attend il est 23h50 ont va pas sortir pour aller chercher un mec dans les rues de Lo sAngeles, et si on le trouve on fera quoi ?

Tom : Écoute tu fais se que tu veux mais moi je avis le chercher donc sois tu vient avec moi soit tu reste là. Dit-il en me souriant.

Moi : Putain tu fait chier, sors d'ici attend moi devant la porte faut que je m'habille.

    Il s'exécute et j'enfile les premiers vêtements qui me passe sous le nez.
Je sors précipitamment de ma chambre et je rejoins Tom derrière la porte. On descend les escaliers en essayant de faire le moins de bruit puis nous montons dans la voiture.

Tom : C'est partis pour retrouver se connard. Dit-il en allumant le contact.

Je sens que ça va mal finir cette histoire...

MONSIEUR TOM KAULITZOù les histoires vivent. Découvrez maintenant