L'envole d'une fille invisible

Chapitre dix sept

J'ai hurler, j'ai cassé toutes mes affaires, j'ai menacé Marine. Mais rien n'as changé. Elles avait toujours se comportement étrange.
La nuit , je dors plus . J'imagine sans cesse dans qu'elle état je vais retrouver Maëlys si jamais je la retrouve un jour.
Mais ma plus grande peur, c'est que le patron lui ai effacé ses souvenirs.
Je l'en crois capable. Vue comment il la traite. Et Lucien... je ne l'ai plus vue depuis. Je stresse tellement; maman et Marine on toujours se comportement étrange.
Après un dîner rapide dans ma chambre, je me couche .
Des milliers de pensées horribles me vrillent l'esprit, plus violente les unes que les autres. J'ai peur. Je fini par m'endormir...

La fille rigolait. Elle jouait sur une balançoire, et ne semblait jamais s'en lasser. C'était Maëlys. Je la regardait, quelque mètres plus loin. Ici, ce n'était pas la réalité, mais un rêve. Dedans nous étions tous heureux et Maëlys n'était pas enfermée dans un hôpital par un connard. Les larmes me montent au yeux lorsque que je réalise que même dans un rêve , tout aurait été mieux. Maëlys arrêta de se balancer, et me regarda. Elle me souriait, mais j'étais incapable de faire le moindre geste. Elle viens vers moi en trottinant, heureuse.
- Alala ! Kimby , j'ai faillit battre mon records ! J'ai sauté de la balançoire seulement au quarantième tours ! Rigola Maëlys.
J'étouffe un sanglot et la prend dans mes bras.
- Maëlys, je t'aime. Dis-je d'une voix étranglée.
Elle me serra un peu plus dans ses bras.
- Moi aussi Kimby , mais c'est plutôt le genre de phrase que tu devrais dire à Lucien . Ton amoureux! Hihihi !
Elle se détacha de moi et me fis un grand sourire.
Je la regarde. Son sourire était encadré par deux fossettes, ses grand yeux vert reflétait le faux soleil de mon rêve, et ses épais cheveux blond était rassemblé en deus tresse, toutes aussi épaisses.
Elle me pris par la main et m'entraîna en riant. Mais elle disparue et le décors changea brusquement..,

Je suis de retour dans ma chambre. Mais c'est encore un rêve, il fait jour et Maëlys et la.
On est en soirée pyjama. Comme dans l'autre rêve, Maëlys agit normalement et moi je reste la , et découvrir se rêve.
Maëlys vas dans le salon et me tire par le bras.
- Allez viens Kimby ! On vas regarder un film d'horreur, et ensuite on vas s'amuser à se faire peur pendant toute la nuit ! Rigola t'elle en faisant des grimaces.
On s'assit sur le canapé et Maëlys alluma la lumière.
Je reste muette , mais ça ne dérange pas Maëlys, comme si elle était habituée. Comme si ses rêves montrait la vie, peut être si la mère de Maëlys n'était pas morte.

Soudain le décore change encore.
Lucien et la , Maëlys aussi est une femme blonde .
Maëlys est assise sur une chaise, entourée de cadeaux avec une banderole accrochée au plafond où il y a marqué; Happy Birthday Maëlys!
La femme doit être sa mère, sourit et dit d'une voix douce en lui tendant un paquet.
- Tiens ma chérie , joyeux anniversaire!
Maëlys déballe le paquet , c'est un téléphone portable.
- Ooooo merci maman !
Maëlys saute dans les bras de sa mère et brandit le téléphone:
- Kimby ! Lucien ! Je vais pouvoir vous saouler avec pleins de messages, ça va être génial!
- Parle pour toi marmonna Lucien amusé.
Le decors change encore....

On est dans un champ. Il y a que Maëlys et moi. On est assise côte à côte . Maëlys prend ma main et je murmure:
- Maëlys.... tu me promets que quoi qu'il arrive, on restera toujours ensemble?
Maëlys me sourit, serre fort ma main et murmura:
- Je te promet Kimby, rien ni personne ne nous sépara jamais !
Elle posa sa tête sur mon épaule et murmure:
- T'es ma meilleure amie Kimberly.
Ses mots ne touchèrent . J'eu les larmes au yeux et je lança :
- Toi aussi Maëlys...

Je me réveille. Ce rêve....j'en pleure encore. Je me redresse et dans la faible lueur qui viens des rideaux, j'aperçois le fauteuil roulant. Si seulement je pouvais marcher. Mais.... depuis mon accident j'ai pas pensé une seule seconde que le médecin a pu me mentir. Peut être que le diagnostic est faux. Peut être que je peux marcher.
Je me débarrasse de ma couette et pose mes pieds par terre. Je me lève, retenant ma respiration. Je fais un pas. Puis deux. Puis trois. Je peux marcher.
Je teste mon bras gauche. Tout fonctionne. Arg ! Qu'est-ce que j'ai été con de les croire ! J'aurais pu sauver Maëlys! Rageusement, je m'habilla et fila hors de l'appartement.
Je cours au hasard dans les rues, m'arrêtant près des pancartes pour demander le chemin de l'hôpital.
Je prie sans cesse pour Lucien et Maëlys. J'espère qu'il ne leur est rien arrivé.
J'arrive finalement devant l'hôpital.
Je cours à l'accueil, et m'arrête brutalement.
C'est le patron. A l'accueil.

Sans réfléchir, je me jette sur lui, lui griffe le visage, lui hurle des insultes et chercher à l'assommer.
Soudain, on me tire en arrière. Je me débat et hurle.
Mais on me bâillonne, et je sombre dans le néant.